Aaaah Enfin les vacances...
Pas facile hein...
Pas spécialement reposant hein...
Mais c'est la première fois que je me force à pas trop organiser, je me force à être relaxe, je me force à ne rien faire et trouver que c'est une bonne chose.
Pas 100 % de réussite mais bon, j'essaye au moins d'amorcer une transition.
Les vacances d'été 2021 ayant été pas mal bouleversées par une petite pandémie mondiale avec son lot de règles sanitaires, de contraintes de voyage international, de montée en flèche de taux de contamination en France qui m’ont passé le goût d'y aller.
Vacances transformées ensuite par la préparation de la venue de la grand-mère, qui finalement à été annulée du fait de son âge et sa santé. Pour finir par trouver un truc de dernière minute histoire de déconnecter un peu, et de juste partir ailleurs (et quitter les travaux de voirie que j'ai devant ma fenêtre depuis 2 mois...)
Mission réussie, une jolie campagne, un mois de septembre chaud, à la fois un trou paumé avec très peu d'activité (= bien obligé de ne rien faire et de ralentir la cadence) mais juste assez pour occuper un être de 4 ans qui aimera de toute façon refaire la même chose jusqu'à ce que mort s'en suive sans jamais se lasser.
Je ne peux pas m'empêcher de travailler quand même un peu sur le grand projet d'association parce-que les choses vont arriver vite. (Objectif Signature dans 1 mois) Et je me rends compte que je ne peux pas vivre sans. Parce que j'aime ça.
Sinon je dors très mal depuis 3 nuits parce-que le lit est trop mou et j'aime pas les oreillers. Donc je suis dans un petit sommeil léger de merde qui fait que je rêve beaucoup. Hier j'ai rêvé de Taylor Swift... Vas savoir pourquoi... Et cette nuit, de Paris, d'une cathédrale vide et démolie (elle n'était pas nommée mais je pense voir la référence...), de rues étroites, et de verres en terrasses de café. *Soupir*
Normalement ça aurait dû être ça mes vacances putain!
On me conseille de partir seule, de prendre un break de l'enfant qui me pompe encore trop d'énergie. Bien sûr que je le veux, mais je ne pense pas en être encore capable quand je vois à quel point mes réactions sont plus de l'ordre du physique que de la raison.
Bref je travaille sur l'autonomie, qu'il me lâche un peu la grappe... (Et que moi j'accepte qu'il soit aussi très bien sans moi)
Encore beaucoup de boulot.
Le pire boulot de ma vie en fait.