lundi 30 juin 2014

"Écouter" un match de foot à la télé, commenté par des québécois c'est assez éprouvant, quand tu fais subir à tes oreilles:
- La physicalité
- La defensive
- Le coup de pied de coin
- La collectivité de l'équipe
- Les joueurs qui retraitent au vestiaire

dimanche 29 juin 2014

Bonjour.
Point meteo.

C'était marrant cet hiver les -15, -20, -30 degrés.
Aujourd'hui il fait 34, et mardi 42... Je maintiens que l'hiver me manque. Et encore, j'ai la clim chez moi, donc je peux m'enfermer dans la fraîcheur.

C'est actuellement l'été à Montréal, et c'est juste la folie de voir tout ce qu'il ya. (Arrêter de dire que Paris est une ville culturelle...) Rien qu'hier, le festival de jazz, des concerts dans des salles donc, mais aussi des gratuits dans la rue, des expos, du Bmx rue St Denis, un spectacle de cirque gratuit...
Parait que t'es content que ça se termine, tellement tu peux pas tout voir, que ça en devient épuisant.


Hier j'étais au concert d'High Tone. Tu connais? Non. Moi non plus. 

Nouvelle salle: le Métropolis. Très bien. Et une nouvelle fois des tables au fond pour s'asseoir. Ils ont vraiment tout compris ici.
En 1ere partie, un groupe de raggae. J'ai un peu dodeliné au début mais je confirme que ce genre de musique n'est vraiment pas ma tasse de thé, me suis fait un peu chier. Ça reste pour moi de la musique d'ado, ceux qui ont pris l'option arts plastiques au lycée. Ceux qui ont grandi depuis mais qui ont les cheveux sales, ou pleins de trucs dedans, des tresses et/ou des fils de toutes les couleurs, qui portent des sarouels, qui font du jonglage au parc. Ou alors, la tendance ici, marcher en équilibre sur un fil, tendu entre 2 arbres.





Puis High Tone. Qui ont le bon goût d'être lyonnais. Je ne saurais décrire le style, mais ils appellent ça Urban Dub. Et c'est vachement bien, trippant, musique de drogué oui, mais de bonne facture.


J'ai ensuite eu le privilège de me faire la rue st Catherine le samedi soir. La cour des miracles. L'usine à enterrement de vie de garçon/fille. On en a croisé 6 en 10min. Tous plus classieux les uns que les autres. "1 min pour l'humilier comme vous voulez!"... Heu non mec, on humilie pas les gens gratuitement, ce n'est pas "drôle".
Bref t'as qu'une chose à faire à ce moment là, fuir. (et faire la tournée des bars accessoirement) (et je suis même retournée par hasard là où j'étais passé il y a 3 ans).
J'ai donc vécu une nouvelle expérience mémorable. Je l'ai fait une fois, donc plus jamais. cqfd.

vendredi 27 juin 2014

Le problème dans ce pays c'est que les gens travaillent.
Ils travaillent le dimanche, les jours fériés, et très tôt. C'est donc tout à fait normal qu'une entreprise de terrassement vienne creuser l'immeuble d'à côté avant 7h du matin!!!!
En parlant de travail... J'ai démissionné.

mardi 24 juin 2014

Aujourd'hui c'est férié. 
C'est la fête nationale du Québec. Ce genre d'évènement étant de base pas mal beauf, mais ici... c'est puissance 1000.
Ce qui surprend c'est qu'ils se le fête. "Bonjour, bonne st jean baptiste!" Comme si t'allais voir ta boulangère, "bonjour une baguette et un bon 14 juillet à vous!"
Mais non pourquoi?
Malheureusement il a plus toute la journée gâchant pas mal les festivités. J'ai quand même pris mon courage à 2 mains hier soir pour aller voir le spectac donné dans un des nombreux parcs du voisinage. Entre la foule (plus ça va, moins je supporte. Avec des symptômes de plus en plus physiques, je deviens réellement agoraphobe) - "foule" ici étant très clairsemée faut le dire, quand on a été comme moi, voir mélanchon à la Bastille, ou coincée place de la Nation pendant le carnaval tropical... 
Donc la foule + la musique locale + les hot dog pas bons (quand même très déçue d'avoir des saucisses bouillies dans une ville ou le barbecue est un peu le sport national...)
Bref, cette ambiance fête du village n'ayant jamais été ma tasse de thé, c'est sûrement pas ici que je vais soudainement en faire une passion. Au moins au 14 juillet en France, le dj du village il passe Emile et Images. Robert Charlebois c'est pas dans mes gênes...
Bilan: comme le 1er janvier en fait, je le fais une fois, j'ai vu, et plus jamais.

Malgré tout cela, le festival de rodéo de Sainte Tite en septembre, me fait sacrement envie...

jeudi 19 juin 2014

Y a des fois tu fais des trucs, tu vois des gens comme ça, et sans faire exprès, tu t'en rappelles tout le temps. Sans savoir pourquoi, sans le chercher spécialement tu sais que c'est gravé. D'autres fois, d'avance tu sais que tu vis un moment exceptionnel, unique dans ta vie. Et d'autres fois encore, tes moments exceptionnels, bah tu les loupes et tu t'en rappelles même pas! C'est dire comme c'était important à tes yeux...

La scène de l'aéroport, le départ, je l'avais visionné mille fois dans ma tête, des jours avant, des semaines avant. J'en avais tellement peur.  Est arrivé ce qui devait arriver. Je crois que c'est la 3e fois de ma vie que je pleure aussi fort. c'est pas que ce fut spécialement déchirant, mais juste un moment difficile à passer. Surtout qu'à l'aéroport y a vachement de symbolique avec les portes, la douane, ces espèces de paliers à franchir, pas de demi-tour.
En plus tu pars pour un long voyage, donc pleurer pendant 7h j'avais pas spécialement l'énergie pour, vu la petite nuit passée avant. Alors tu respires, tu reprends tes esprits, tu donnes ton passeport avec les yeux rouges. Tu regardes les gens autour. Tout le monde s'en fout, personne n'imagine un instant que t'es en train de tout lâcher. Que tu te poses dix milles questions, que t'es peut être en train de faire une grosse connerie. Qu'à ce moment là, t'as même plus de clés à mettre sur le tapis roulant du scanner, parce que t'as plus de chez toi, juste ta vie dans 3 valises. Les gens, soient ils rentrent chez eux, soit ils partent en vacances. Ils s'en foutent.

Alors tu respires fort, pour te remettre de tout ça. Pour se donner une contenance. Pour se projeter vers l'avenir. Je suis montée dans l'avion. Notre voisin nous a dit bonjour. On n'avait pas fini de poser nos sacs qu'il commençait à discuter. Vous venez d'où? Vous allez faire quoi au Quebec? Et combien de temps? Et pourquoi? Et là tu dis pour la 1ere fois, que tu pars, tu quittes la France pour t'installer là-bas.  Et il ne nous lâchera plus de tout le voyage. Pendant 7h il a parlé. C'était long. Très long. Moi, par chance j'étais pas à côté, donc je faisais semblant de dormir. Même si c'était impossible tant son débit de parole me fatiguait. Pas désagréable, mais juste relou. Alors j'ai mis de la musique. Les dernières chansons que j'avais écoutées. Et ça me faisait comme des flashs, ces chansons c'était les rues de Paris. C'était mon trajet quotidien. Alors je me suis tournée pour dormir un peu (ce qui dans un avion est tout à fait relatif rapport au confort très sommaire), mais c'était trop dangereux pour moi de fermer les yeux. ça montait, montait. Mes yeux se remplissaient de larmes. Je ne pleurais pas. Mes yeux pleuraient tout seuls.

J'avoue aujourd'hui avoir un profond respect pour tous ceux qui partent en PVT. Qui font ça tout seul. C'est pour un temps limité certes, 1 an ça passe super vite. Mais il en faut des bollocks finalement.

Ma situation n'est pas sensationnelle, certaines journées sont longues, mais la vie pour l'instant est loin d'être déplaisante. Je me suis créé une vie, une routine. Tellement de choses à vivre ici. Pas la peine de se plaindre, tout ça je l'ai voulu, j'ai quitté par choix une ville et un pays que je n'aime plus. 
Je ne suis pas triste, je n'ai pas de manque ni de nostalgie. Juste quand même un arrière goût de ne pas être chez soi.
C'est pour ça qu'encore aujourd'hui, j'ai peur de fermer les yeux.

mercredi 18 juin 2014

Je marche sur la rue Jean Talon Est, et je vais bientôt passer à l'Ouest. (c'est d'ailleurs pas facile d'écrire en même temps, notons la pzrformance). Je passe devant la fromagerie Hamel, qui n'est pas vraiment un plaisir à c't'heure. Rapport à l'odeur.
Je vais travailler.
A la cool. Je n'aurais jamais marché à cette vitesse avant.
Hier il m'a dit qu'on ne savait jamais quand ça allait plus chez moi, que je n'avais pas de signes avant coureurs. Je suis à 2 doigts de pleurer. Comme tous les jours.
Je suis plus qu'heureuse d'être ici, et ce court séjour à Paris m'a bien fait comprendre que c'était n'importe où mais ailleurs qu'il fallait être. 

Cependant, force est de constater que oui des gens me manquent. Et que si je pouvais vivre avec eux ici, partager des promenades, des jeux dans l'herbe avec certains, des bières au parc, des discussions interminables en terrasse avec d'autres, ce serait vraiment le paradis.

Comment on dit déjà? On ne peut pas tout avoir dans la vie?...

mardi 17 juin 2014

Je suis rentrée chez moi. 
Mon dieu qu'est ce que je me sens mieux.
Je suis épuisée, pas vraiment dormi dans l'avion, beaucoup d'attente, la douane, la valise, la route.
En parlant d'attente, la mienne a été complètement écrabouillée par mon "faux ex secret". Faut dire ce qui est, si je suis repassée dans mon ancienne agence, c'était pour le voir, si je l'ai prévenu 2 semaines avant, c'était pour qu'il soit là. Cet enfoiré n'est jamais venu... Je lui ai dit que c'était "pas sympa" (pas dans ces termes il est vrai) de me faire ça, il m'a répondue qu'il était "triste et désolé, qu'il voulait "vraiment" me voir aussi, mais qu'il ne "partageait pas".

Voilà. 
Démerde toi avec ça ma vieille, et fais toi les films que tu veux. Je ne comprends absolument pas ce qu'il veut insinuer. 
J'ai très faim. L'espèce de truc qui se prenait pour une part de pizza que j'ai mangé dans l'avion ne suffit pas. 

Direction le chien fumant, histoire de retrouver mes repères.

lundi 16 juin 2014

08h du mat' heure de chez moi. 
Mais 14h à Paris. 

Ce court séjour se passe bien (pour l'instant), je suis contente d'avoir revu tout le monde. 
MAIS. Tout ça aurait été 100 fois plus agréable ailleurs que dans cette ville. Paris est insupportable, invivable. Je n'ai qu'une envie c'est d'en partir.
Je me posais la question, et j'ai vérifié, de peur que ce soit encore moi et mon côté jamais contente, mais non, les chiffres parlent: 


Montréal: 
- population: 1 649 515 habitants
- superficie: 365 km2
- donc densité (je t'épargne le calcul) = 4 518 hbts/km2.

Paris :
- population: 2 249 975 habitants
- superficie: 105 km2
- donc densité (je t'épargne une nouvelle fois le calcul, mais c'est assez vite vu hein, ++ de gens sur 3 fois plus petit forcément...) = 21 347 hbts/km2.

Voilà c'est tout.
Je me demande juste comment on peut s'infliger ça.

Je veux pas faire la fille négative qui crache sur tout ce qui est lié a Paris, ms le fait est là, c'est invivable. Il faudra vraiment un motif valable et important pour m'y faire revenir. Même 3 jours.

En plus ce mariage... Non mais d'une beaufitude... C'est parce-que j'y étais vraiment obligée, et que je me sens redevable envers lui (rares sont les fois où je m'impose quoique ce soit), mais je ne comprends toujours pas le principe de cramer autant de fric pour 1 merde pareille.

La seule photo que j'ai faite. Vue de ma fenêtre.



mercredi 11 juin 2014

J-2 ou H-48, je sais pas trop.
Je pars demain soir/nuit.
Je suis en train de faire ma valise. 
Je ressaye ma robe.
Oups...
On dirait que le beurre de peanut crunchy que je m'enfile au petit déj' depuis 1 semaine n'était pas vraiment une bonne idée....

dimanche 8 juin 2014

Ayé. Une bonne chose de faite. 
C'était pas si pire.
Pas aussi beauf que je le craignais.
Je pense que la présence "tolérée" de filles a permis une certaine tenue, et d'éviter le graveleux d'une gang de mecs bourrés qui font des paris stupides.
On a habillé le futur marié en mariéE, on a fait un faux mariage au parc. Un samedi.... c'est à dire blindé de gens autour, au spectacle. Un peu la honte au début, il est vrai, mais les gens applaudissaient
, chantaient, filaient du fric (80$ !) Halluciné de voir un tel accueil et autant de sourires et autant de parfaits inconnus jouer le jeu.
Une bonne chose de faite certes, MAIS c'est pas fini... Dans 4 jours je vais à Paris et ça me casse tout mon groove.
Après analyse, rentrer en France pour 4 jours, sans envie, par pure obligation, sans envie de voir personne en particulier, n'apporte strictement rien voire coupe vraiment notre courbe de "nouveaux arrivants en train de s'installer dans un nouveau pays".

Bref, une journée de mariage et tout les trucs nazes que ça implique, plus la famille à se cogner le dimanche, plus se faire une soirée potes avec le décalage horaire dans la tronche, et même le décalage de vie tout court, rapport que eux n'ont rien changé depuis 6 mois et sont toujours dans leurs petits train-train et qu'on partage plus rien avec personne depuis qu'on est partis, parce-que faut dire ce qui est, quand tu changes un truc radicalement personne ne s'y intéresse... ça va être une belle épreuve cette fin de semaine! Mon dieu j'ai hâte.

mercredi 4 juin 2014

Il est 19h30.
Je dois faire mes exercices d'anglais.
J'y arrive pas. J'ai pas envie. Je suis fatiguée.
Tout comme t'avais trop la flemme de faire tes devoirs en rentrant des cours le soir, et que tu bossais réellement une seule fois par semaine, le dimanche après-midi, mais jamais la semaine....

Au boulot, tout le monde parle français. Sauf un. Il est américain.
Il baragouine un peu français, il comprend un peu, tout le monde parle avec lui en anglais. Sauf moi. Je baragouine avec mon anglais, parce qu'évidemment j'ose pas, et il me répond dans son français moyen. Les conversations sont donc assez limitées et absolument pas intéressantes. 
Sauf aujourd'hui. Le seul mec (sur une équipe de 19 personnes) à qui j'ai dû expliquer que j'avais un problème avec son contrat et ses cotisations de retraite? C'est lui évidemment!
On s'en ait sortis, on est tombés d'accord (j'espère pour lui), mais quand il a fallu commencer les explications.... so, i have a problem with your.... comment on dit retraite en anglais by the way?
Cocasse la scène!

Dans 9 jours je vais à Paris.
A cause de l'autre qui se marie. A cause de l'autre pour qui je fais des efforts énormes. 
Qui dit mariage dit enterrement de vie de garçon. Qui dans le cas présent est ouvert aux filles et prend plus la tournure d'une sacrée bamboula entre amis (qui se finira aux danseuses j'imagine) (= strip club)
Je n'ai évidemment pas DU TOUT envie de participer, accompagner des gars bourrés faire les abruttis ne m'amuse que très moyennement.
Problème: dans le programme il y a passage au karaoké. Et je ne peux PAS rater ça!!! 
Que faire? Accepter la première partie? Jouer le jeu au parc? Le barbecue? et me casser ensuite? Ce dilemme est trop intense pour moi.

Dans 9 jours je vais à Paris. 
L'occasion est trop belle, je vais voir mes amis architectes. Parce-qu'ils me manquent ces cons. Je les ai prévenus de mon passage, et mon ex amoureux secret m'a répondu "si on te fait une offre tu restes?"...
*soupir*... Évidemment que non, je ne retournerai surtout pas vivre en France, mais faut bien l'admettre... qu'est ce que je donnerais pas pour rebosser avec eux... *soupir*

lundi 2 juin 2014

La neige me manque.


Tout le monde parle de l'hiver mais personne te dit que quand il fait 28 degrés avec 85% d'humidité, c'est une vraie partie de plaisir surtout quand évidemment le job que t'as trouvé (qui soit dit en passant, a juste le mérite d'occuper mes journées mais ne me passionne pas du tout, vu que je suis réduite à faire 40% de ce que je faisais avant, mais le tout étalé sur 40h donc... Oui je me fais un peu chier, et je termine cette phrase trop longue quand je veux) se trouve dans une ancienne usine, c'est à dire un vieux bâtiment pas très hermétique, avec des fenêtres moisies et où il fait 32 degrés dedans, quand il fait 28 dehors. C'est très agréable d'avoir les bras qui collent au bureau....
Mis à part ça, une bonne bière fraiche sirotée dans n'importe quel parc, c'est à dire partout = le pied total. Les rues sont belles, ça sent les fleurs, c'est troooop cooooool. 

Et toi la france, ça va le FN?

dimanche 1 juin 2014

Ça fait 6 mois. Pile. Et toujours pas de points négatifs en vue.

Ce que j'aime ici:
- Les magasins ouverts le dimanches
- Les supermarchés ouverts 7j/7 jusqu'à 22h
   Y Aller à 20h, et faire ses courses seule, dans un magasin vide...

La positivité :
par exemple, sur la route, les panneaux ne t'interdisent  pas, mais plutôt "t'obligent" à...
à la télé, les programmes ne sont pas interdits aux moins de 16 ans mais "s'adressent à un public de +16 ans"...
C'est subtile, mais psychologiquement ça change tout!

- Les 10m de hauteur sous plafond dans le métro (sans parler de la propreté et de la clim bien évidemment)​

- L'égalité des sexes, ici les femmes conduisent les bus, ramassent les poubelles, travaillent sur la voirie, pas de discrimination.
- Le chauffeur de bus met sa ceinture, dit bonjour à CHAQUE personne qui rentre, et même au revoir quand tu descends!


- ​Le mauvais gout vestimentaire de tout le monde (ici les vêtement sont fait pour être utiles et efficaces, pas pour faire jolis)
- Tous les mecs entre 15 et 35 ans sortent leur skateboard dès que la route redevient praticable (même si j'avoue que j'en vois plus marcher avec une planche sous le bras, qu'en train de rouler dessus....)
- La bonne bière de brasseurs
- Tout le monde a un barbecue sur son balcon. Tout-le-monde. 
  Et tu peux même l'emporter au parc pour faire griller tes saucisses au picnic.

En gros, c'est tous les avantages d'une capitale, avec la mentalité et le rythme à la cool d'une ville de province.
(Je comprends pas pourquoi t'es pas encore parti de ce pov' pays........)