dimanche 18 juin 2006


Le casque ça tient les cheveux, c'est bien.
Le casque, quand il fait 35, ça donne chaud aux oreilles. C'est moins bien.
(étude de cas: quand on doit supporter 40 jours à tout casser de réelle chaleur sur 365, on reste gagnant. Se dire que cet hiver, ça protègera vachement bien du froid!)
Le casque ça coupe complètement du monde extérieur. C'est TRééééS bien.
Mais quand ce monde exterieur tente de te demander un renseignement, et que même pas tu le calcule... ça l'est un peu moins. (faut être con aussi pour adresser la parole à quelqu'un d'aussi barricadé auditivement)
Avec le casque, tu te la pètes grave. Et tu entends plus moins la connasse qui annonce le nom de chaque station dans le métro.
(je comprends pas comment personne n'a encore osé vandalisé ces putains de haut parleurs pourris)
(parce que sur la ligne 1, ya que des gens biens.)


Je m'étais jurée de pas tomber dans le panneau.
C'est quand même très énervant de penser à lui alors qu'on se l'était interdit.
Je ne l'appellerai pas.
Non.
Pourquoi?
Parce que.
Arrêter d'y penser.
Et arrêter de penser qu'on est justement en train d'y penser.

Aucun commentaire: