La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
dimanche 10 décembre 2006
Google: "un jour la petite huguette - une fille tres tolerante"
(c'est un fan... mets moi direc en page d'accueil ce sera plus simple...)
Attention: histoire de fille (parce qu'il parait que j'en suis une) à caractère pas très informatif sauf pour les plus accros (et j'en connais)
N°13 est gentil, on ne peut pas dire le contraire. Mais n'est pas ce qu'on pourrait appeler la distinction incarnée. A force il me dégoute plus qu'autre chose avec sa grosse bouche et sa mollesse. Je l'aime bien mais. Y a un truc qui cloche. Donc bon... Pendant le pti debriefing du vendredi après midi, ma chef m'écoutait attentivement et a conclu par un judicieux tu leur trouves toujours un truc qui cloche. On dirait que tu fais exprès de chercher un défaut. Dès que tu le trouves tu le lâches plus et tu t'en sers comme excuse.
... mmm...
Oui peut-être. Pas de ma faute s'ils sont pas parfaits! (si je prenais l'odeur de Michel, l'humour de guy, la douceur de jean yves, le doigté de régis, le physique de Bernard, les goûts musicaux d'alfred, le caractère de Gilbert, la prévenance d'hubert, l'intelligence, l'ouverture... J'en ferais un putain d'homme idéal!!!)
(J'imagine là...)
(houla... 2sec.. Faut que je me remette de mes émotions)
Bref, n°13 étant sur le départ, va falloir que je bosse mon tact pour trouver une façon un peu adulte de lui annoncer. Ce qui est loin d'être gagné. La distance et la froideur du coup de fil de tout à l'heure vont peut être aider qui sait...
Cependant, la fille qui perd pas le nord... Je devais revoir n°12. J'ai donc revu n°12.
En un mot: grande soirée. (et matin) (et après midi aussi...)
résumé:
Un rdv à 19h pour aller manger, il a 20 min de retard.
Elle va donc faire passer le temps dans les boutiques des alentours (pour éviter de se cailler sous la pluie) et c'est à ce moment là qu'il arrive direct devant le peub... forcément maintenant c'est elle qui est en retard et doit se grouiller...
Premier verre pour commencer. (ah tiens c'est pas mal ton pti pull, t'es habillée en fille. ça change de la dernière fois...)
Vagues papotages pour se mettre dans le bain.
Finalement restage sur place. Beaucoup de monde, (un appel du *banquier* qui rereretente sa chance. La semaine prochaine? Il a dit sexfree, je risque rien...), de musique live (mal jouée), d'ambiance. Les verres s'enchainent tout seuls.
C'est quand il s'est assis sur la banquette que ça a dérapé. Elle a voulu faire la maline, et vazy que j'te tripote "en copain", ça me fait rien, aucun effet t'as vu, un souffle dans le cou, des frissons et emballé c'est pesé. Elle est faible en vrai.
Enchainement avec criticage des 2 nazes en face. Lui trop maniéré pour pas être homo; elle, très vilaine. On lisait des signes de SOS, "sortez moi de là!!!" sur son visage à lui. Elle prenait sur elle pour alimenter tant bien que mal la conversation. Ouuuh c'que c'était rigolo!
Entourés de touristes, à gauche 8 americains, à droite 8 americains, à droite de la droite 4 japonais. Mais on est où bordel???
- Au début je te trouvais banale comme fille, et plus on discute avec toi, plus on se rend compte que t'as beaucoup de charme.
- KOA??? banale??
- tssss... je suis en train de te faire un compliment là, tu entends que ce que tu veux...
Puis les Dacquois sont arrivés... A notre table. C'est là que tout a basculé. Seule l'espace de 2 min, ils étaient déjà en train de faire les présentations et de m'attirer dans leur groupe. Pour la faire courte, inrésumable de toute façon, ambiance typique, feria, 3e mi temps etc. Lourd mais bon enfant. (on se souviendra longtemps du tchin en lançant ce merveilleux "au téléthon les gars! 3637!" Comment ne pas s'entendre avec ces mecs là?) Bref, les pilotes de canadaires sont sympas. I won't forget you. (ni bisouman dans les toilettes...) Ni toi le capitaine franco-colombien (j'ai pas trop suivi) Amoureux de moi parce que "t'es sûre que t'es pas espagnole? Nan mais t'es typée comme les filles de Barcelone... alors je pensais que..." Et ceci répété une bonne dizaine de fois. Au bout d'un moment on s'y fait.
- Vous êtes ensemble depuis combien de temps?
- mmmm... 2h?
- hein?? c'est pas vrai!! j'aurais dit 6 ans! vous allez super bien ensemble
(héwé qu'est-ce tu crois, l'alcool rend le monde gentil)
3h30, it's time to aller manger.
5h, se retrouver chez lui. Trop crevés, évanouis sur le lit. Mais vite froid, alors sous la couette. Mais vite trop chaud, bien obligés de se déshabiller. Mais avec un autre corps collé contre le tien, c'est compliqué de "simplement" dormir (sur My last serenade, ya pas à dire ça a d'la gueule.)
10h, mince on dort toujours pas.
14h, non plus. (plus je ... plus j'ai envie de...)
15h, allez on bouge.
Direction la fnac pour le concert de Tool. Complet évidement. (s'y prendre la veille en même temps... Profiter pour prendre killswitch en janvier. (Impatience.) Un tour chez $ aussi, puisqu'on passait devant. Un centre commercial blindé (rapport au samedi avant noel), une boutique totalement vide. Bravo monsieur le directeur, on dirait que votre stratégie paye n'est ce pas (grosse merde va!)
- je suis content
- AHAHAHAH
- non mais sérieux, je suis bien avec toi
Rentrée à ma maison 17H30.
Dormi 16h d'affilé.
Bref, je voudrais qu'on m'explique ce phénomène qui fait que quand t'es toute seule comme une pauvresse, que t'as limite les crocs, il ne se passe absolument rien. Par contre, dès que tu choppes, et que tu peux te concentrer sur un truc, en fait t'en as 3 en même temps qui débarquent! Merci bien pour le choix.
Ah tiens, j'ai retrouvé le code secret de mon "e-carte bleue". Marque page dans Le Banquet de platon. Si c'est pas la classe...
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