La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
lundi 2 avril 2007
le temps ça ne se regarde pas, ça se perd
Tu prends une petite crise de début de semaine. Tu ajoutes à ça une bonne angine qui a fait comme une quarantaine. Jusqu'à samedi soir. Une semaine d'absence donc.
Tu finis par une petite visite de courtoisie le dimanche après midi, comme quand on va visiter et promener sa mémée. Le tout qui s'est terminé... le lundi à 7h du mat'!!!! (pour aller bosser en plus, j'te dis pas la tronche.)
D'abord tu vas voir la famille. Emotion. Interrogations. Surtout faire bonne impression.
Et tu rentres à 2h. Normalement les veilles de travail tu rentres prendre un tax', cause on déroge pas au petit rituel du matin... Mais cette fois, la quarantaine tout ça... ce serait sympa de se voir un peu aussi... Alors tu restes et tu te glisses sous sa couette dégueu. (c'est là que tu te dis qu'il doit vraiment y avoir un truc bizarre qui brouille ton coeur et ton cerveau pour te faire aller au delà de ça...)
A partir de 5h30, quand la fatigue se fait réellement sentir, qu'on se dit que le réveil sonne bientôt, qu'il reste plus que 2h à dormir, que houlala on va être très mal demain etc... il faut toujours avoir une fille dans ton lit pour te motiver "mais non ça sert plus à rien de dormir là. Si tu t'endors, le réveil te sortira de ton sommeil profond, c'est encore plus violent. Autant qu'on continue à parler..."
D'habitude c'est la fille qui parle. Des fois c'est l'inverse.
Un lit, 2 humains, tu trouves toujours à t'occuper t'façon, même quand t'as plus rien à dire au bout d'un moment.
Une nuit totalement blanche faite de ... pleins de choses inoubliables... (la journée de boulot qui a suivi, comme dans une sorte de 4e dimension, (mais à jeûn cette fois, ça change), elle aussi inoubliable).
Tu rentres te coucher à 18h30... Et on en est là, 2h du mat' tu pètes le feu. Génial.
Putain il me plait ce mec.
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