ça fait une semaine.
Maintenant tu sauras que pour un échafaudage d'environ 7m de long et 6 étages, il faut une semaine de montage.
Avec des mecs qui passent devant ta fenêtre, comme s'ils marchaient dans le salon. Qui s'arrêtent devant la fenêtre de ta salle de bain pour prendre une bière, pile au moment où tu comptais prendre ta douche. Su-per. Pas gênant du-tout.
Nuisances sonores, qui, quand tu as un travail et de quoi t'occuper toute la journée hors de ce lieu, ne représentent pas grand chose... Mais quand t'es là, face à eux!!!! Et encore le ravalement n'a pas commencé.......
Je sens que je vais devenir folle.


Ptêtre que ça me permettra d'aborder la possibilité d'une île, de le comprendre clairement ce film. Je ne suis pas du tout d'accord avec les "critiques" que sur le coup je trouve encore plus faux culs, parce que NON ce n'est pas juste "nul", c'est... indescriptible. Si le film tient formellement la route (...), la structure et la recherche de l'épure de l'auteur rend l'objet si ce n'est incompréhensible du moins bien vide et frustrant par rapport au livre pour celui qui ne l'a pas lu. A vouloir jouer le trip mystérieux façon Cicatrice Intérieure dans le désert, Houellebecq oublie de développer ses thématiques et de présenter clairement les enjeux du personne à ses différentes époques (...).
Voilà. Tout à fait ça. Je n'ai même pas envie de lire le livre. Les images, les décors, naturels de surcroît, sont magnifiques, mais ce film ne raconte pas grand chose... Enfin pas clairement, pas directement. C'est une sorte de trip. Pas désagréable finalement. Par contre j'aimerais bien m'asseoir devant une bière avec Michel H. pour qu'il me raconte personnellement ce qu'il a voulu dire ici et là. Pourquoi ce geste, et pourquoi le chien.
Juste ça ferait un joli clip pour jean michel jarre.