La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
vendredi 16 octobre 2009
Bon, on est vendredi.
ça va mieux merci.
ça faisait longtemps tu me diras, pas de clash c'est pas forcément bon signe non plus.
Un bon coup de pression dans ma gueule, ça remet un peu les idées en place.
Quand il est venu, à 1h du matin, "il faut qu'on discute: qu'est-ce qu'on fait?"
...
Ce qui m'inquiète le plus c'est surtout les premiers trucs qui me sont passés à l'esprit:
1/ et le voyage dans 1 mois?
2/ et l'appart? comment je vais faire pour en trouver un autre si vraiment?
3/ et qui va s'occuper de mon ordinateur si?
...
Les boules quand même!
J'm'en veux presque de penser ça.
ça me conforte bien dans l'idée que tout ça, ces histoires de couple, c'est de la belle connerie, que ça te rassure un temps parce que tu deviens 'comme tout le monde', ça te donne des habitudes, ça te donne un certain confort, mais qu'au final ça ne fait rien d'autre que t'aliéner à quelqu'un plus que t'épanouir à quelque niveau que ce soit.
J'ai lâché tellement de trucs pour en arriver là, il a eu tellement de patience, alors je me suis dit que je ferais un peu l'effort quoi.
Mais bon, si je liste, ça fait chier d'avoir abandonné quelques parties de moi.
J'ai déjà eu bien mal pourtant, sentimentalement parlant, j'ai déjà passé des nuits à chialer, à avoir un trou dans le bide, (durant ma looooongue carrière), mais cette fois... j'ai pas eu mal pareil. Je crois que j'ai jamais été vexée à ce point là surtout.
J'ai pas bouffé pendant 2 jours (pour dire la portée de l'événement), et pourtant je suis pas la dernière à m'empiffrer.
Heureusement j'ai passé le cap, je mange des cochonneries trop sucrées et des chips écoeurantes, je sens que je vais bientôt vomir, donc je suis vivante ça va. (oui ça va mieux j'te dis)
Je sais pas trop ce que je choisirais au fond. Pour quitter faut quand même avoir des couilles. Oser être celui qui prend la décision de tout détruire. Le courage... Je suis pas très équipée.
Pour supporter d'être quittée faut quand même avoir une bonne dose de recul, et surtout la fierté dans le placard. Sauf que la fierté j'en ai encore trop en stock.
Voilà.
Je fais quoi moi maintenant?
Mais ça va mieux hein.
Mais ça fait se poser des questions.
Et ça me met surtout bien face à ma situation, et me fait bien réaliser que je suis plus dans la merde qu'autre chose (au niveau de mon aliénation j'te dis)
Je sais pas si ça va vraiment mieux finalement.
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