dimanche 11 avril 2010


Vivre avec un garçon malade est peut-être pire que tout.
Quite/quitte à pas dormir (j'ai jamais su écrire "quite/quitte"), autant regarder le soleil se lever, avec un café (raté) et des granola noix de coco (en attendant les "granola cookies") (et les "fraises tagada rose plus pétillantes"), tout en lisant le journal sur le balcon, enveloppée dans ma robe de chambre en satin. (un détail a été grossièrement ajouté, sauras-tu le retrouver?)
6h30 quand même.
Un dimanche.
C'est gâcher.

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