Je suis allée au concert de The Story so Far. Et ce, malgré la souffrance (je sortais à peine d'une séance d'osthéo, pendant laquelle cette jeune et sympathique praticienne m'a tout bonnement explosé le dos et l'épaule. "Ouuuh lalala vous êtes stressée? C'est pas normal d'être aussi tendue!!!!" T'es pas obligée d'appuyer dessus comme une tarée non plus).
Pas mal déçue du concert précédent aux Combustibles, je suis arrivée plus tard (après une série de tapas et de vino tinto, ça met toujours en forme). Il est 21h30 et ya beaucoup de monde sur le trottoir. Me faufile, lente progression pour arriver dans la salle et à chaque pas la température augmente de 5°. Il fait au moins 30° dans ce four, tu sens (dans tous les sens du terme) qu'il vient de se passer quelque chose. Un groupe est en train de s'installer sur la mini scène, brancher la guitare. (Le brio)
Petit tour d'horizon rapide: le public est jeune (et l'autre se vexe encore "c'est plus de notre âge ces concerts") (tssss....)
Le groupe australien balance un punk rock endiablé, de la grande époque, ni bon ni nul, ce sont tout simplement les enfants de Greenday. (et bam re15 ans dans les gencives)
C'est propre, ça met l'ambiance. Les gamins du public se remuent bien comme il faut pendant 45 min. Il fait maintenant 40° dans la salle. J'ai chaud. Tout le monde transpire.
Après une pause, toujours trop longue, The Story so Far (la révélation de l'année à ce qu'il parait) démarre et ça pogote de partout, ça slam comme des foufous, grosse ambiance, les jeunes ça pète le feu.
Pour ma part ya beaucoup trop de monde, je ne vois absolument rien, je suis tout au fond, à 2 doigts d'être poussée par la porte de secours. Je transpire encore plus que sous le cagnard à la Barbade... Il fait 60°. Le miroir sur le poteau est recouvert de buée (on peut dessiner des bites: joie) L'ambiance est top.
Musicalement, le son est pourri, je ne peux pas vraiment dire que j'apprécie, mais je ne jetterai pas la pierre au groupe qui, malgré son jeune âge, a l'air de plutôt bien maitriser. C'est la salle qui est naze. (malgré son barman (le barbu) qui met plutôt en appétit...)
A la sortie, tout le monde se précipite vers la sortie (il fait 82°), tous les mecs sont torses nus (trop jeunes, pas intéressant) et complètement détrempés de sueur. Jamais vu ça...
En conclusion, je ne retournerai plus dans cette salle au son pourri, mais ce concert restera mémorable pour l'ambiance de feu (ce qui change de la froideur du public parisien...)
Pas mal déçue du concert précédent aux Combustibles, je suis arrivée plus tard (après une série de tapas et de vino tinto, ça met toujours en forme). Il est 21h30 et ya beaucoup de monde sur le trottoir. Me faufile, lente progression pour arriver dans la salle et à chaque pas la température augmente de 5°. Il fait au moins 30° dans ce four, tu sens (dans tous les sens du terme) qu'il vient de se passer quelque chose. Un groupe est en train de s'installer sur la mini scène, brancher la guitare. (Le brio)
Petit tour d'horizon rapide: le public est jeune (et l'autre se vexe encore "c'est plus de notre âge ces concerts") (tssss....)
Le groupe australien balance un punk rock endiablé, de la grande époque, ni bon ni nul, ce sont tout simplement les enfants de Greenday. (et bam re15 ans dans les gencives)
C'est propre, ça met l'ambiance. Les gamins du public se remuent bien comme il faut pendant 45 min. Il fait maintenant 40° dans la salle. J'ai chaud. Tout le monde transpire.
Après une pause, toujours trop longue, The Story so Far (la révélation de l'année à ce qu'il parait) démarre et ça pogote de partout, ça slam comme des foufous, grosse ambiance, les jeunes ça pète le feu.
Pour ma part ya beaucoup trop de monde, je ne vois absolument rien, je suis tout au fond, à 2 doigts d'être poussée par la porte de secours. Je transpire encore plus que sous le cagnard à la Barbade... Il fait 60°. Le miroir sur le poteau est recouvert de buée (on peut dessiner des bites: joie) L'ambiance est top.
Musicalement, le son est pourri, je ne peux pas vraiment dire que j'apprécie, mais je ne jetterai pas la pierre au groupe qui, malgré son jeune âge, a l'air de plutôt bien maitriser. C'est la salle qui est naze. (malgré son barman (le barbu) qui met plutôt en appétit...)
A la sortie, tout le monde se précipite vers la sortie (il fait 82°), tous les mecs sont torses nus (trop jeunes, pas intéressant) et complètement détrempés de sueur. Jamais vu ça...
En conclusion, je ne retournerai plus dans cette salle au son pourri, mais ce concert restera mémorable pour l'ambiance de feu (ce qui change de la froideur du public parisien...)
Sinon mon anniversaire c'est mardi pour ceux qui ne se rappelleraient plus..... hein... n'est-ce pas.... merci....