16h30 la nuit tombe. C'est quand même hyper déprimant.
Je savais bien que tout ne pouvait pas avancer aussi facilement qu'hier. Trop de bonnes nouvelles d'un coup, ça engendre forcément une bonne journée de merde le lendemain hein.
La machine à laver ne marche toujours pas. Personne n'est passé comme prévu. C'est très chic comme objet dans le salon, faut reconnaitre.
Le rdv avec le skateur ne fut pas un fiasco comme je le craignais. Ce fut pire. 
Et dans l'après midi il m'envoie un message t'as pas eu mon email? Bah non connard, sinon je ne serais pas venue pour rien! Ecoute moi bien petite merde, j'ai déjà pas envie de te voir parce que je n'ai strictement rien à te dire, va falloir arrêter de m'gonfler rapidement! (je suis un petit peu rancunière).
Je lui ai pas dit ça, je sais pas le dire en anglais. J'ai commencé par fuck you fucker... et pis non, j'ai pas répondu.
Y a des gens, faudrait faire plus gaffe aux signes quand même. Certains tu les rencontres tout de suite et ça se passe hyper bien. Et d'autres ya toujours un truc, une galère, jamais dispo en même temps... 
Le boulet quoi.