J'adore mon boulot, j'adore mon patron.
Mais je n'ai plus envie d'aller au bureau.
Il y a 2 semaines, après plus de 2h de discussion avec mon boss, je pensais lui avoir bien fait comprendre que 2 gars de l'équipe ne correspondait pas/plus à l'ambiance du bureau. Qu'ils dérangeaient tout le monde (c'est vrai, plus personne ne les supporte....)
Il m'a dit que j'avais raison, qu'il pensait la même chose, qu'il devait "leur parler".
Sauf que lui c'est un vrai gentil, et un québécois. Le combo ultime. Le mec qui ne pourra jamais virer quelqu'un.
Donc on a toujours les même boulets sur les bras. Un qui n'est pas fait pour la vie en groupe, qui n'est ni plus ni moins qu'un espèce d'animal dégueulasse. Et l'autre qui se prend pour la star ultime, un ego surdimensionné qui prend tout le monde de haut avec un dédain tel que... non, c'est plus supportable.
Je fais quoi moi maintenant?
Je suis bien pourtant avec les autres. C'est même trop parfait pour être réel. C'est un peu nul comme situation parce que ça nous soude, ça fait comme 2 clans. Alors je décale ma journée, j'arrive à 10h et je pars après tout le monde.
Perso, j'ai réussi à redresser la barre. La situation va mieux. Bref, je suis bien où je suis, je suis contente avec ce que je fais. Mais... j'ai de plus en plus de mal à supporter les 2 boulets.
La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
jeudi 21 janvier 2016
jeudi 14 janvier 2016
Il m'a réécrit.
L'économiste me souhaite "une bonne année".
ça me fait un peu plaisir, mais la teneur est tellement...
pffff son mail est nul, la fougue de la jeunesse a disparue.
on est vieux, on est chiants, on est des ringardos.
le mythe s'est lamentablement effondré, la puissance sexuelle s'est envolée.
Pour la première fois je ne sais absolument pas quoi / je n'ai pas envie de lui répondre.
Adieu quoi.
vendredi 1 janvier 2016
Ils sont partis.
J'avais peur j'avoue, 6 chez moi ça commence à faire étroit.
Mais en fait c'était juste génial.
Malgré le pire réveillon de Noël gâché par 1 sombre connasse (que personne ne peut plus blairer non plus, ce qui me rassure un peu), le reste du séjour fut intense/épuisant, mais agréable.
Trouver 1 truc à faire tous les jours pour occuper le pti monstre (qui s'avère un adorable enfant) était chiant j'avoue, j'ai pas l'habitude.
1 jolie complicité avec la grande que j'ai connu au même âge... (et qui demande à sa mère si elle peut revenir toute seule l'été prochain, parce que c'est vraiment trop cool (aaawwww trop mignon)... chez "tata"... (heeeu si tu m'appelle comme ça non).
Je suis triste de les voir partir j'avoue.
J'avais peur j'avoue, 6 chez moi ça commence à faire étroit.
Mais en fait c'était juste génial.
Malgré le pire réveillon de Noël gâché par 1 sombre connasse (que personne ne peut plus blairer non plus, ce qui me rassure un peu), le reste du séjour fut intense/épuisant, mais agréable.
Trouver 1 truc à faire tous les jours pour occuper le pti monstre (qui s'avère un adorable enfant) était chiant j'avoue, j'ai pas l'habitude.
1 jolie complicité avec la grande que j'ai connu au même âge... (et qui demande à sa mère si elle peut revenir toute seule l'été prochain, parce que c'est vraiment trop cool (aaawwww trop mignon)... chez "tata"... (heeeu si tu m'appelle comme ça non).
Je suis triste de les voir partir j'avoue.