Aujourd'hui j'ai emmené mon petit stagiaire au boulot.
Il s'est installé dans mon bureau.
Oui parce que j'ai mon propre bureau maintenant. Avec une porte qui se ferme. C'est le bonheur.
Je n'ai donc pas vraiment travaillé. Mais je n'en rumine pas moins la scène d'hier.
Ce fut le pompon, l'apothéose. Du grand n'importe quoi.
J'ai pas pu me retenir, j'ai fait ma grande scène. A peine il avait fini de raconter ses états d'âmes, la voix chevrotante, je me suis mise à brailler, lui crier dessus, en larmes. Ils ont même pas voulu que je sorte me calmer. Pas facile de continuer à écouter dans ces conditions. Je pensais que le petit cocktail et le vin du midi m'avaient bien détendue pourtant.
Bilan, on vit les choses très différemment (sans déconner). Lui, avec sa personnalité, toujours perché, à coté de la plaque. Qui ne "comprend pas", n'avait pas réalisé que son comportement a des conséquences, le manque de respect. Ah oui faut dire merci à son équipe?... Come on...
Les 2 jeunes qui ont besoin d’être reconnus.
Et moi, seule avec mes chiffres, qui ne supporte plus d’être en soutien à ramasser ses conneries. Veux pas être en dépression chaque année hein!
Alors on fait quoi maintenant?
Aucun commentaire:
Publier un commentaire