La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
vendredi 17 mars 2006
Apparement y en a qui sont avides. (oui parce que pour situer ça fait plus d'1 mois maintenant que je mets des photos pourrites et rien d'autre. Et les gars ils reviennent. (Et même plusieurs fois par jours.) Et je les comprends.
Boysetsfire les enfants! Je vais vous dire Boysetsfire!!!
Laissez tomber vous connaissez pas (évidAment) mais c'était carrément....
Le glaz'art c'est tout pti, genre comme le garage de tes parents, avec la même moquette par terre. Le public, c'était autant qu'à ta première boume... On était quoi 63 en heure de pointe, sinon... 30 fidèles devant la scène dans les périodes de disette.
Plaisir du peu de public => totale liberté pour se lâcher et bouger ton body. (2 bières à jeûn, forcément moi ça me bourre! Alors le Empire, MA chanson, j'étais à fond!!!) (les boules quand même de constater que c'était la plus naze de tout le set...)
Tristesse et désespoir => une salle vide ya pas à dire c'est déprimant.
Première 1ere partie, Fullscreen. Alors c'est Spike Lee qui chante. Mais il se trouve qu'il s'en va. Fullscreen est donc chanteurless. (je leur ai laissé ma maquette). Ils sont français. Ils sont gentils et polis. Ils jouent proprement. T'es pas transcendé, mais c'est sympa, ça sonne bien, pareil que tous les groupes qu'ils ont écouté en gros (s'ils ne savent pas répondre à la traditionnelle question et vos influences c'est quoi?, je peux pas croire). C'était bien.
Ensuite seconde 1ere partie, Tribute to nothing. Là non plus tu connais pas. Et c'est pas grave, c'est tout pourri. La grosse arnaque. Les types ils font n'importe quoi, et après ils te vendent ça comme un nouveau courant musical. Mais At The Drive In c'était quand même mieux hein...
Et enfin... Mais alors làààà!!!... Je les connais (à peine) depuis 1 mois et pourtant j'étais toute émue. Une vraie groupie. Le son nickel. (ou alors c'est encore la théorie du *c'est toujours douloureux quand t'aimes pas*)
En totale connection avec eux puisque c'est seulement une fois qu'on s'est décidés à se rapprocher que BIM ça a commencé. Et presque par hasard en plus, ya pas eu de one two check check the maïck! Tu le crois ça? (Inadmissible!) Bref ça a commencé pile quand j'ai voulu. J'aime quand on s'adapte.
Gros dilemme, parce que grosse envie. Comment choisir entre écouter de la musique qui pète et aller aux toilettes? Pas grave t'attends la fin. Sauf que non, dans la vie on sent tout de suite les priorités (d'ailleurs c'est pas mal,ça résonne bien dans les chiottes avec le carelage.)
Le chanteur tout bourré (il parait qu'il a la descente facile...), et pourtant présent. Très très agréable de voir que malgré le peu de monde, les gars ils donnent tout. A fond. Le "pogo", ils étaient 6 (pas trop dur de compter) Limite j'aurais pu monter on the stage. Carrément. D'ailleurs *Brian* le chanteur m'a appelée , il m'a demandée de venir avec lui, mais j'ai dit non, c'est ton show, go ahead dude!
J'ai fait les choeurs sur Requiem...
La lumière à peine rallumée, les rodiz qui remballent tout. Le bassiste qui met son manteau et qui attend près de la porte On sort ce soir ou bien?
C'était intime à la fin, tous ensemble, band, public (c'est à dire 8 personnes), joie, bonne humeur, amabilité et respect... J'ai pas trop l'habitude. J'ai pas demandé la signature, (mais fais signer ton billet au moins!!!) j'ose pas trop ces trucs là, mais j'aurais pu hein! (Fallait faire signer ton cul! Toujours la classe c'est important)
Au retour dans le métro, dans mon wagon (j'ai compté) y avait 13 chinois sur 18 personnes. (pekin express) Ya quelque chose de pas normal.
Et le pire dans l'histoire, c'est que j'ai complètement oublié de lui faire le coup du casque.
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