La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
mardi 9 mai 2006
Les tengu: (sans vouloir être offensante...) désolée j'arrive pas. Faut dire ce qui est, c'est juste un peu chiant.
Mais je crois surtout que le problème est plus simple: je suis obnubilée par les bang, tap tap, dling, vrrrr, etc..................... (va comprendre)
Alors là... ALORS LA!!
En je ne sais combien de séances de film que je me suis tapée depuis les 6 dernières années, on ne m'avait jamais encore fait ce coup là! Y a une fille qui s'est évanouie...
Ouich...
comme j'te le dis!
Les critiques disaient: "Brutal et explosif, The Great Extasy Of Robert Carmichael est un violent défi à la suffisance morale et politique de nos jours.", "Tandis que certains crient déjà au nouveau Orange Mécanique – ce qui peut faire plaisir au réalisateur qui se considère comme un fan absolu de Kubrick –, d’autres hurlent à l’abomination. Qu’on aime ou qu’on abhorre, ce voyage au bout de la nuit cauchemardesque a de quoi stimuler l’état critique."
Alors moi je m'attendais à un truc un peu plus trash que Fourmiz (toujours prévoir 5 degrés de moins que les critiques officielles), et il se passait rien, c'était chiantissime, parce que le coté portrait social de l'angleterre vue d'une ville de pêcheurs, paumée face à la mer (pour des pêcheurs, même au chômage c'est quand même plus pratique la mer), avec que des vieux tous alcooliques, et des jeunes, tous drogués pour les mecs, et tous putes pour les filles, c'est un peu vu, et rererevu, (ken loach l'a déjà fait)(<= toujours parsemer ici et là quelques preuves de culture cinématographique) donc pas ultra palpitant. (notons qu'y a pas eu la violence conjugale, ni la fille de 16 ans qui accouche du fils de son grand père... (C'est pour le volume 2))
Faut tenir jusqu'aux 10 dernières minutes en fait, pour le cambriolage qui dérape, (même si tu te doute bien dès juste après le générique, de qui va péter les plombs), là ça devient un peu plus sanguinolant. Ya du Orange mécanique effectivement dans l'inspiration (dans le copiage éhonté je dirais même!), c'est dérangeant oué, t'es un peu mal à l'aise, mais ça ne dure que 5 min. Et comme y a rien ni avant ni après, ça n'a aucun d'intérêt. (oué chui blasée c'est triste à son âge)
Et la fille elle s'est évanouie. Nan mais vraiment.
(j'ai rigolé mais la pauvre quand même... c'est pas très marrant en vrai...)
Ses copines étaient toutes paniquées (c'était ptêtre ça le plus rigolo) (quoique j'ai pas vu sa tête, ptetre qu'elle avait la langue qui pendouillait et qu'elle faisait de la mousse avec sa salive)
Et personne ne bougeait... 2-3 autour se sont un peu rapprochés pour regarder, mais personne n'a strictement rien fait. C'est hyper rassurant. Cette entraide spontanée de la race humaine... ça me fait chaud dans le coeur.
Heureusement que c'est arrivé 1 min avant la fin. (sinon elle serait ptetre morte pour non assistance)
Donc les pisseuses... la prochaine fois, je sais pas, si la prof de bio est absente la semaine prochaine et que vous avez perm' par exemple, vous vous renseignez avant hein... On fait comme il dit le monsieur, on vérifie AVANT pour quel public est prévu le film. Allez faire un tour à Pimkie c'est moins choquant. (quoique)
Et puis passez à Macdo avant, parce que les crises d'hypo ça dérange les gens au cinéma.
Merci.
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