La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
mardi 24 juin 2008
Ne pas travailler c'est aussi avoir la chance de regarder des programmes télé que tu ne soupçonnais même pas. Je connais maintenant toute l'enfance de l'ourson charly, petit grizzly tout mignon mais tout orphelin aussi... Heureusement que Joanna et Michael(prénoms modifiés) l'ont recueilli et lui ont donné de la compote de pomme et des croquettes pour chien.
Pour ton info, à la fin, il ne meurt pas (contrairement au bébé éléphant du reportage suivant), mais se fait adopter par les mamans grizzly qui étaient justement dans la cage d'à côté. Ouf n'est-ce pas.
Sur Nrj12, ya "la loi du plus riche". Des enfants héritiers de riches familles américaines font équipe avec leurs contraires, des pauvres gars surendettés pour bien entendu gagner de l'argent. Les épreuves sont of course pénibles et physiques. Il faut pêcher des sardines, cueillir des poivrons en plein soleil, .... Tout ça pour entendre dire en commentaires par les petits bourges "je ne pensais pas que c'était aussi dur, j'ai désormais beaucoup de respect pour ces gens qui travaillent dans des conditions aussi difficiles... plus jamais je ne penserai que des gens sont inferieurs à moi... Que du bon programme pour mon petit déj du matin.
Je te raconterai pas la "vraie vie d'eve angeli", y aurait trop à dire. Une pépite.
Vendredi dernier j'ai participé au concours pour gagner une place pour le concert Dead Pop Club / Rival Schools.
Enuite j'ai écouté parce que je me suis dit qu'il était de bon ton de se présenter à un concert en connaissant un minimum, au moins le style, l'orientation, les influences (histoire de savoir comment s'habiller) (si c'est important)
Bon ensuite, j'ai pas gagné.
Mais après écoute d'un pauvre et unique titre qui traine sur le net, rien de plus, bah j'me suis dis que finalement, connaissant déjà DPC (depuis quelques années, ça ne nous rajeunit pas les enfants), et n'ayant rien de spécial à faire lundi soir... allons nous amuser avec ces "pionniers de la scène hardcore"!
Sauf que.
Dead Pop Club démarre, face à une petite trentaine de gens, léger comme public, un peu froid, ramage sur les 2 premiers titres faut bien l'avouer. Une nouvelle fois, retour en 2000, quand j'allais dans le cybercafé de St lazare pour voir leur site...
Dans la salle, le public n'a pas moins de 30 ans. Une vraie maison de retraite.
Puis ça se chauffe, ça se décoince, c'est frais, énergique, punkisant sur le fond, ça met dedans. Une bien bonne première partie.
Forcément avec ce style musical, on se dit que la suite va dépoter sévère.
Bah en fait... pas du tout.
Les fameux, les grands, les célèbres Rival Schools se pointent. Folie dans la salle, y en a 2 qui crient et le reste applaudit bien fort (+30 ans je rappelle)
C'est alors que nous assistons à une farandole de chansonnettes toutes plus mollassonnes et mièvres les unes que les autres. Quoique, je suis médisante, y en a bien eu 2 où on a entendu la batterie. Wahou l'ambiance quoi.
Alors oui je me suis fait chier sévère. C'est d'autant plus frustrant quand autour de toi, la foule (oui la salle s'est un peu plus remplie) a l'air bien prise dans le truc, avec même 3 gars limite en transe à gesticuler et sauter dans tous les sens.
Tout ce que j'ai ressenti c'est un énorme retour en arrière, un son super vieux, un Jonah Matranga caché derrière, et une voix limite fausse. Dommage pour le coup. J'ai juste vu des gars contents d'être face à un groupe qu'ils ont dû écouter pendant des soirées entières durant leur longues années d'adolescence. Forcément quand toi tu t'en fous... bah tu discutes avec l'autre par sms (mais sur le même téléphone), et tu te barres avant le rappel parce que bon faut pas pousser.
En résumé, Rival schools c'est d'la soupe. On se demande où sont passés les Gorilla Biscuits...
A croire que les biscuits étaient mouillés - Jiyel, expert musical punk.
(mon dieu, quelle merveilleuse conclusion)
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