mercredi 24 février 2010


J't'ai pas parlé de "La mélancolie des dragons"?
Là aussi ça m'a prise comme ça. J'ai lu une "critique", et pif j'ai pris des places. (va comprendre)
(c'est marrant ma façon de toujours faire les choses soit sur un coup de tête, soit pas du tout)
Et hop direction le théâtre du Rond Point pour occuper mon dimanche après-midi.
...
You know what? J'ai rieeeen compris. (Si tant est qu'il y eu quelque chose à capter.)

Des hard-rockers, j'me suis dit banco, c'est pas vraiment une CSP qu'on a l'habitude de voir au théâtre. En plus parait que c'est drôle. Oui mais non en fait.
Ya une (trop) longue introduction, tous les 4 dans la voiture, à écouter de la musique. Tous les classiques y passent, Metallica, AC/DC, Scorpion. Alors qu'en connaisseuse tu dodelines, frétilles du genou sur ces quelques célèbres riffs qui font toujours plaisir, bah... la salle se gondole. ça éclate de rire dans tous les sens.
Ah.
Bon.
AC/DC ne m'a jamais vraiment fait "rire". Leur musique en tous cas.
Ensuite, enchaînement de scènes plus visuelles que de réelles déclamations de texte profond.
Original, certes, poétique aussi, très inspiré sûrement. Oui les persos sont attachants et j'aimerais bien qu'on m'explique un univers crée de toute pièce de cette façon, mais... La conclusion c'est que ça m'est passé complètement au-dessus.
Ah non, grand moment: la reprise de "still loving you" à la flûte.
Enorme.
Vraiment très TRES bon.
Et puis un chien, vrai, vivant, sur scène qui bouffe le décor, c'est toujours sympa.

(le metteur en scène a dit qu'il s'était inspiré du docu sur Métallica. Gros succès les antidépresseurs de James Hetfield n'empêche)


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