Jour 1: Chicago
Le top! Je conseille TOTALEMENT.
Je suis flabergastée par l'architecture (veux pas me la raconter, je suis peut-être juste brainwashée au quotidien...) Les briques sont milles fois mieux exploitées qu'à Mtl où tout est bancal et disparate.
Ici chaque bâtiment est différent, et pourtant ya une réelle cohérence dans une rue entière, un quartier.
Tu marches et tout est juste beau.
Tout s'éclaire et je comprends pourquoi ils m'ont autant parlé de cette ville, je comprends pourquoi tout architecte qui se respecte sur la terre d'Amérique du nord doit venir à Chicago.
Par contre c'est grand, c'est bruyant, c'est vivant.
C'est une "vraie" ville, qui pue, avec des gens qui crient, qui klaxonnent. La priorité au pieton qui traverse cest pas trop leur truc. Y a eu des petits moments dans le centre où je faisais pas la fière. Le bruit, la foule. Se retrouver à 17h30 au pieds des tours de bureaux n'etait pas la meilleure idee quand tu sais absolument pas où tu vas. Je me suis totalement bisounoursifiée et comprends un peu mieux la célèbre réputation des gentils canadiens polis.
conclusion: Mtl est un petit village bieeeen tranquille.
Je suis un peu triste de ne pas me sentir dépaysée plus que ça, d'à peine me sentir aux US, tant la ville carrée et les bâtiments en briques sont déjà mon quotidien.
Le top! Je conseille TOTALEMENT.
Je suis flabergastée par l'architecture (veux pas me la raconter, je suis peut-être juste brainwashée au quotidien...) Les briques sont milles fois mieux exploitées qu'à Mtl où tout est bancal et disparate.
Ici chaque bâtiment est différent, et pourtant ya une réelle cohérence dans une rue entière, un quartier.
Tu marches et tout est juste beau.
Tout s'éclaire et je comprends pourquoi ils m'ont autant parlé de cette ville, je comprends pourquoi tout architecte qui se respecte sur la terre d'Amérique du nord doit venir à Chicago.
Par contre c'est grand, c'est bruyant, c'est vivant.
C'est une "vraie" ville, qui pue, avec des gens qui crient, qui klaxonnent. La priorité au pieton qui traverse cest pas trop leur truc. Y a eu des petits moments dans le centre où je faisais pas la fière. Le bruit, la foule. Se retrouver à 17h30 au pieds des tours de bureaux n'etait pas la meilleure idee quand tu sais absolument pas où tu vas. Je me suis totalement bisounoursifiée et comprends un peu mieux la célèbre réputation des gentils canadiens polis.
conclusion: Mtl est un petit village bieeeen tranquille.
Je suis un peu triste de ne pas me sentir dépaysée plus que ça, d'à peine me sentir aux US, tant la ville carrée et les bâtiments en briques sont déjà mon quotidien.
Amer constat: je comprends à peine quand une serveuse me parle, j'ai encore une fois en bonne française tellement honte d'être une brèle en anglais.
Mon airbnb est indien. Son appart pue sent très fort le curry...
C'est degueu gênant.
Jour 2 : Mal aux pieds
Marcher marcher encore marcher.
La grande ville.
J'ai perdu toute notion de survie dans ces guerres citadines. Je vois des gens traverser au feu rouge et en suis presque choquée.
Malheureusement on est bien aux États: on mange mal, même leurs bières sont pas bonnes. (j'ai encore eu droit à l'éternel "tu pourrais pas vivre ailleurs qu'au Québec toi!") (nianiania...)
Malheureusement on est bien aux États: on mange mal, même leurs bières sont pas bonnes. (j'ai encore eu droit à l'éternel "tu pourrais pas vivre ailleurs qu'au Québec toi!") (nianiania...)
Les bords du lac (Michigan) c'est cool. Y a un parc à chiens sur la plage!!!!
Jour 3: Franky
Je veux pas me la péter c'est juste qu'à force de traîner avec des architectes blablabla.... Et comme moi aussi je voulais comprendre leurs références (et qu'ils m'ont tellement bassinée avec les maisons de Frank Lloyd Wright) j'étais o-bli-gée d'aller voir.
J'ai visité sa maison et... Ah ok. Tout s'explique.
Le mec a juste tout inventé.
Je ne veux pas une maison d'architecte je veux juste les concepts intelligents que certains trouvent. (Malheureusement je sais désormais ce que ça coûte...)
L'aéroport de Chicago. RAS. Tout roule malgré les commentaires négatifs et la soit disant attente interminable. Faux.
(Mais peut-être que j'étais considérée en vol intérieur)
Merci aux douanes US de s’être permis d'ouvrir ma valise sans ma présence. Ce fut fortement apprécié.
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