je suis en « vacances ».
dans un mignon et confortable chalet au bord d’un lac.
les flocons légers tombent, les branches des sapins touffus et vert forêt s’affaissent sous le poids de la neige, c’est bucolique à souhait.
mais il y a un être vivant de petite taille qui m’accompagne et qui aspire mon âme.
qui me réveille à 06 heures fucking 30 du matin.
qui parle parle parle.
qui a son mot à dire sur tout.
qui se permet de commenter des conversations qui ne le concernent pas.
qui par ailleurs n’écoute même pas quand on s’adresse à lui, ou qu’on veut lui expliquer des choses (pcq on a le temps de passer du temps avec, tu sais le temps « de qualité », la transmission tout ça ) Mon cul ouais! il en a rien à foutre.
donc au final ça finit en engueulade pcq il casse les couilles tout simplement.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire