jeudi 18 août 2005



< Glamourous style>
Hey les mecs, là franchement, vous m'pétez les couilles...
< /GlamStïl>


Au Starbucks, ils sont une ptite bande de mecs. La fine équipe...
Sont tous moches.
Dans les resto du quartier, les serveuses elles sont d'abord topissime avant de savoir tenir une assiette. Pour les mecs c'est loin d'être la même politique. Sauf au Fuxia. Les serveurs aussi sont beaux. Mais très désagréables quand t'es pas un mec. Homosexuel de surcroit. Déjà que c'est dégueulasse alors t'imagine... Donc je concluerai mon analyse par: on pardonne vraiment tout à une fille tant qu'elle a un beau cul moulé dans son jean.
Au Starbucks, les deux seuls qui me parlent, c'est le gros avec des lobs d'oreilles surdimensionnés, et le... comment dire... celui qui a la peau verolée, ou la lèpre, ou des restes d'acnée, incrustés jusqu'à la 10e couche d'épiderme. Sûrement très gentil au demeurant, mais le pauvre, ça bloque quand même à la première approche.
Le gros lobé il m'a attaqué direct avec ça fait mal le piercing? Eeeeet vazyyyyy! Trop original. Remarquant que je me foutais de sa gueule en répondant à ses questions toutes crevées, il a essayé, avec clin d'oeil à l'appui, le Non mais... tsé... allez... sérieux...
Il m'a coupée dans mon élan ce con.
Bah non que j'ai répondu.
Et t'en as sur la langue? T'en as pas d'autre?...
Naaaan.
*soupir*
Les deux seuls qui me parlent. Des vraies bombes.
*soupir*
On a que ce qu'on mérite dans la vie.


3h de sommeil perdues hier soir pour cause de discut nocturne avec grégo sur msn.
J'ai des doutes.
Il a avoué qu'il m'avait draguée. (hein. Bon. Chui pas folle!)
Il a avoué qu'il était dingue de moi, qu'il voulait m'épouser, qu'on parte tous les deux s'installer dans une maison sur la côte basque, pour élever des sangliers sauvages et en faire du jambon de pays (hein? Quoi? les malentendus de msn?... J'extrapole? Je ne comprends *que* ce que je veux? Rooooh...)
N'a pas nié qu'il était maqué. (sale hyène)
Ne m'a toujours pas envoyé comme convenu la photo de sa bite.
C'est bon, je ne l'aime plus en fait.

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