La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. - Voilà exactement comme moi...
jeudi 17 novembre 2005
C'est définitif, mon avis est sans appel: c'est chez Armani qu'ils sont les plus aimables, agréables, accueillants et tout. (et ceci en toute impartialité. Pas parce que j'ai de trèèèès bons souvenirs avec, (non pas Georgio) mais... merde je sais plus son nom...)
En plus, chez Armani ya des hommes... C'est bien, ça change des blondes (ou vieilles blondasses), représentations vivantes avec empilage en différentes couches faciales et successives de TOUTE la gamme de produits qu'elles ont sur leur stand.
Question: Un homme qui vend des rouge à lèvres est-il forcément homosexuel?
(question 2: un homme qui travaille dans les cosmétiques et qui fait la bise à son collègue est-il forcément homosexuel?...)
je crois que sur la fin il m'a trouvée un peu chiante, mais il avait qu'à pas sentir bon. Et puis je me privais pas pour lui toucher la main. T'es obligé mec, fallait pas venir me voir avec tes "conseils"...
C'est du boulot d'être une femme!
Avec cette histoire de résultat de QI, je me suis rendue compte que j'avais très peu de souvenirs. (quel est le rapport?) En général. De mon enfance. De toutes mes expériences diverses et variées. En fait, j'ai une mémoire hyper sélective qui me garde une, et une seule image de chaque truc. C'est bien pratique pour pas être encombrée mémoritalement, mais c'est pas top pour avoir de la matière à raconter à ses pti enfants. Par contre, ça m'est revenu comme un flash: je me suis souvenue super bien du traumatisme qu'étaient pour moi les cours de dessin. A tous les âges. (vu que cette connerie est une matière obligatoire)
Tu peux parler, tu ne m'enlèveras pas de l'idée que c'est un des rare truc qui ne se travaille pas. Comme la musique. Tu l'as. Ou pas.
Complètement consciente de mon manque total de la moindre micronano once de *coup de crayon*, il est vrai que je ne partais pas super motivée. Et donc forcément cette matière ne me plaisait pas. Normal, je n'aime QUE les choses que je maitrise. Je ne sais même pas dessiner un arbre!
Donc j'étais nulle, je le savais, et j'avais pas envie de bosser pour m'améliorer. Cercle vicieux.
On vit très bien malgré cette lacune hein. Sauf quand je faisais du babysitting et que la petite me demandait:
- dessine moi une sorcière
- euh... je sais pas dessiner ce truc
- ah. Dessine moi un Père Noël alors
- ...
Va savoir pourquoi, je me rapelle super bien par contre des cours de dessin de 4e. La souffrance quand la prof nous annonçait un nouveau sujet, qu'elle nous expliquait les objectifs, et qu'on avait genre 3 ou 4 séances pour le réaliser. La souffrance quand à la 3e semaine, je n'avais toujours pas le début d'une idée, malgré mon intense effort de copiage sur les autres. La souffrance, quand je parvenais à noircir la (fameuse) feuille Canson, et que plus je crayonnais/peignais/plumais, plus la laideur de la chose que j'étais en train de créer me renvoyait en pleine face ma nullité dans ce domaine (ma propre oeuvre merde!), telle des petits coups de poignards dans le coeur. (c'est bon vous pleurez là?) La souffrance quand il fallait donner le *travail* à la prof. La souffrance quand elle nous le rendait noté. J'avais jamais la moyenne évidement. J'étais toujours la dernière... Le pire c'est qu'elle affichait tout au tableau. La honte ultime quand toute la classe pouvait voir ma croute. Et les explications de la prof qui répétait toujours la même chose: c'était pas du tout ce qu'elle avait demandé. La souffrance quand mes copines tentaient de me réconforter, et que je voyais invariablement la même expression de désolation sur leurs visages.
Je crois que la prof avait bien compris aussi que c'était pas mon truc. Au 1er trimestre, elle disait de ne pas se décourager. Au 2e elle disait que je faisais de mon mieux. Au 3e, elle a dit RAS. Tu parles! Elle aussi elle avait laissé tomber.
C'est bizarre, le dessin ne m'interressait absolument pas (aujourd'hui encore, même juste à regarder). Et pourtant j'étais vexée que mon art ne soit pas reconnu. Alors qu'en latin... (oui on croirait pas, mais j'ai fait latin... 3 mois...), en physique ou en espagnol, matières que j'ai délibérément laissé tomber, j'avais 2 de moyenne, mais je m'en foutais. => Je ne comprends vraiment pas cette altérité.
(petite pause pour réfléchir sur ce mot)
Tout ça pour dire que moi aussi je pourrais faire un *BDblog*. Raconter ma vie dans des vignettes super poilantes. Mais juste j'ai trooooop-pas-le-temps.
(Il reste digne malgré tout... Et ça c'est bien.)
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