lundi 22 septembre 2008


Il caille sa race. J'ai 2 pulls et des chaussettes de ski.
Et j'ai encore les doigts bleus.
Bon sinon? ça va toi? Moi aussi.
ça avance, on a le feu vert. On a le vrai appart dans un mois. C'est parti, c'est paperasserie, c'est penser, c'est organiser, c'est prévoir. C'est bibi. Ok l'Autre est là en soutien je peux pas dire le contraire, mais plus ça va et plus je vois, je vis, ce que j'ai toujours entendu de la bouche de mes ailleules. Sauf que nos hommes de l'an 2000 ne sont même pas bricoleurs! Alors oui ça maîtrise à mort les ordis, ça te fait un réseau avec 2 fils, mais une armoire ou des étagères... ça ne se monte pas avec du wifi vois-tu...
Dans un mois branle bas de combat. Avec ma propension à la dramatisation, ça va être sympa.
Une bien belle aubaine soit dit en passant. Tellement belle que je saute dessus comme les tentatrices sur la plage de Diamante K. Et tu sais quoi? Rien de spécial. Tout me parait naturel. Pas de nouvelle crainte. C'est bizarre. Je ne rapporterai pas ici les propos de pure jalousie, mais bon après les tentatives avortées, ya un moment faut se lancer. Jamais 2 sans 3. (et la vieille fille elle t'emmerde...)
Mon problème, c'est le retour de baton. Parce qu'il va falloir la payer l'aubaine. Pas de stress de recherche, pas de déception, pas d'énervement avec les agences immo. La visite s'est soldée par un apéro. Et la remise de dossier s'est encore faite autour d'un "ballon de rouge". Ya pire certes comme relation avec son futur proprio. Même si ya eu une belle évolution, c'est toujours un effort pour moi de faire dans le relationnel. Tu m'imagines bien dans ce genre de situation, comment je suis allée chercher au plus profond de mes entrailles pour faire bonne figure. On a rien sans rien. Et vas-y que je suis tout sourire, même quand elle me dit de regarder juste en face ya un pressing, alors que je voulais juste écouter la conversation sur la crise éco du moment...
Ma plus grande crainte? Devoir se farcir le repas de noël avec eux...

J'avais déjà préjeté un bon paquet de merdouilles, toutes les conneries que tu gardes en disant on ne sait jamais..., on ne sait jamais rien parce que tu ne les as jamais retouché de ta vie. Sauf quand arrive le moment d'empaqueter, c'est fou ce que tu peux encore jeter. Et quand le doute subsiste, pense qu'il va falloir encore porter le tout, la conclusion est simple, finalement la poubelle c'est mieux.
Ma vie à la poubelle...
Je mentirais si je disais que ça ne me fait rien de rien. Va falloir vraiment mélanger ses affaires ce coup ci. Va falloir accepter qu'il invite ses copains que j'aime pas. Aujourd'hui je le sens bien. (on en reparlera, quand le niveau de stress aura monté +10)
Et puis bon des toilettes séparées quand même merde!!
Quoi de plus classe?

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