mercredi 18 juin 2014

Je marche sur la rue Jean Talon Est, et je vais bientôt passer à l'Ouest. (c'est d'ailleurs pas facile d'écrire en même temps, notons la pzrformance). Je passe devant la fromagerie Hamel, qui n'est pas vraiment un plaisir à c't'heure. Rapport à l'odeur.
Je vais travailler.
A la cool. Je n'aurais jamais marché à cette vitesse avant.
Hier il m'a dit qu'on ne savait jamais quand ça allait plus chez moi, que je n'avais pas de signes avant coureurs. Je suis à 2 doigts de pleurer. Comme tous les jours.
Je suis plus qu'heureuse d'être ici, et ce court séjour à Paris m'a bien fait comprendre que c'était n'importe où mais ailleurs qu'il fallait être. 

Cependant, force est de constater que oui des gens me manquent. Et que si je pouvais vivre avec eux ici, partager des promenades, des jeux dans l'herbe avec certains, des bières au parc, des discussions interminables en terrasse avec d'autres, ce serait vraiment le paradis.

Comment on dit déjà? On ne peut pas tout avoir dans la vie?...

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