jeudi 30 septembre 2010


J'ai toujours les mêmes chansons en tête.
C'est un ENFER.

Je me suis coupée les cheveux.
Encore.
(C'est ma nouvelle passion)
(en vrai j'aimais pas la version précédente, j'ai tenté de rattraper le coup.)
Le résultat est pas mal, je suis contente.
Un petit mélange entre Mireille Matthieu et Nana Mouskouri.

mercredi 29 septembre 2010


Bon, j'ai fait jouer la machine à remonter le temps.
15 ans dans les dents.
2h que je me les fais tous...



Me dis pas que tu dodelines pas...





Me dis pas que tu reprends pas en choeur avec lui...





Me dis pas que tu te souviens plus des paroles...




Me dis pas que tu lèves pas les bras!!!!



'tain j'ai envie de retourner en cours de SVT pour rigoler avec Cédric mon voisin de paillasse...

(dingue je les connais toujours par coeur)



Aujourd'hui c'était mon jour 3.
C'était aussi inintéressant que les 2 jours précédents.
Elle est pas méchante la pauvre qui doit animer le truc, mais elle ne s'adresse pas du tout au bon public.
Des 8, aucun n'a besoin (non je dirais 6) de ce truc parce qu'on sait déjà faire;
et surtout aucun n'a envie d'être là, d'écouter ni de participer.
Elle l'a pas trop ramené quand personne ne voulait faire sa simulation d'entretien d'embauche... ahah...
C'était nul... mais NUUUUUL.

Elle fait partie des gens qui parlent beaucoup, de tout, de leur vie, qui ont toujours une anecdote à raconter parce que "tient ça me fait penser, un jour j'ai / un ami / ma soeur / une personne venue en formation ici a eu......"
MAIS ON S'EN FOUT BORDEL!!

4 jours qui auraient pu être vus en 1. De la bonne perte de temps comme on en fait rarement ailleurs qu'en France.
(ou en Afrique peut-être)

Plus que 3h demain et je suis libre.
enfin.
LIIIIIIIBRE !!!!!

(oh je la connaissais pas celle là...)

lundi 27 septembre 2010


J'ai eu un rappel sur mon téléphone pour un anniversaire. (que je n'ai pas fêté d'ailleurs)
34 ans... c'est vieux quand même.
J'ai peur d'arriver à cet âge.
Je ne veux pas être un "senior"

Bref, je ne peux pas faire comme si je n'avais pas passé une merveilleuse journée d'atelier STR. (le truc pourri oué)
J'ai touché du doigt le vent, le vide, elle a parlé, parlé, parlé pour meubler.
C'était horriiiiiiiible.

Présentation des participants qui sont, je dois l'admettre, moins effrayants que prévus.
Let me introduce *la mère de famille - 43 ans* qui veut être assistante logistique.
Et rien d'autre.
Mais elle trouve pas because la crise, donc dans le transport ils recrutent pas.
Mais elle ne veut pas changer, c'est que la logistique.
(ça doit être fantastique)

Ensuite nous avons *la jeune diplômée Master 2 cinéma - 25 ans* qui veut faire journaliste cinéma, qui réalise chaque jour un peu plus que c'est sympa comme métier pour se la péter devant ses copains ou faire croire à ses parents qu'on a trop réussi à Paris, mais en vrai si tu suces pas le redac chef, t'es pas prête de te faire payer une pige (même 25 lignes)

Ensuite y a moi (dont je passerai les atouts, on n'est pas là pour parler que de moi), qui a essayé tant bien que mal de faire comprendre que t'inquiète Paulette je sais chercher un job, j'ai pas besoin de toi, et je ne me fais pas de soucis. Merci.

Ensuite nous avons *la ultra timide qui a osé la reconversion (à 40 ans)* (parce qu'elle voulait pas le dire). Elle a passé les 15 dernières années de sa vie absolument pas épanouie à faire de la comptabilité. ("la compta c'est pas moi"). Alors elle a décidé d'être... (wait for it...) "médiatrice culturelle". C'est à dire rien. C'est à dire un boulot indescriptible tellement tu comprends pas à quoi elle sert. C'est à dire un boulot dans un secteur qui n'embauche absolument pas parce que dans le culturel on sait tous que y a pas un kopek. Bref ma poule, toi t'as le pif pour trouver le bon filon. Bonne chance quand même.

Ensuite nous avons *la jeune qui a suivi ce que lui a dit la conseillère d'orientation au lycée, mais qui a changé déjà 3 fois de voie à seulement 27 ans*, et qui veut être "agent de sûreté".
Rappel: c'est l'espèce de mollusque à l'aéroport qui est soit derrière le scanner à parler avec ses collègues sans vraiment regarder dans les valises que tu te fais chier à poser sur le tapis roulant, soit debout à te bondir dessus dès qu'il entend un bip. Oué c'est nul.
Son petit plus? Elle a des connaissances assez limité en français (d'où une orientation rapide au lycée), une faute à chaque phrase, et que sa formation... je sais pas en fait, j'ai pas écouté, elle m'intéressait pas.

Nous avons ensuite *le vieux qui retrouvera jamais de boulot avant la retraite - 57 ans* qui veut continuer dans son domaine (l'événementiel), soit un secteur qui n'embauche que du jeune dynamique et à la page, donc te fatigue pas à chercher mec, c'est mort pour toi. Lui il parle bien, du moins tu l'écoutes, mais tu te rends vite compte qu'il doit être bien relou. De cette catégorie de vieux qui ne pourra jamais travailler avec des jeunes, il parle toujours sur un ton faussement dédaigneux parce que lui il l'a et pas toi... l'expérience... donc le jeune tu sais pas, donc tu fermes ta gueule. (ses plus gros coups c'est d'avoir organisé les quelques concerts disco Patrick Hernandez et Earth wind and Fire. Tu m'étonnes qu'il trouve pas...)

Hasard de la vie, à côté il y a *le jeune qui sort de son BTS pour faire de l'événementiel - 22 ans* et piquer la place du vieux d'avant. Il a encore beaucoup de rêves, il est touchant. Il a organisé une soirée une fois. C'est bien.

Il y a *le jeune multimedia - 27 ans* qui hésite entre un métier pour lequel il est formé (et sans doute un peu chiant) et sa passion: le saut en parachute. Le choix est cornélien en effet.

Enfin *l'ancien philosophe qui veut vendre des livres pour gagner de l'argent mais en vrai il veut devenir ébéniste - 27 ans*. Lui il parle pas beaucoup, il a pas beaucoup de fric. Je vois pas trop ce qu'il va devenir.

(Les 2 derniers étaient plutôt sympa et intelligents donc j'ai pas trouvé de vanne, désolée)

Dans tous ça, je comprends pourquoi la France est au chomage.
Vous voulez pas faire des métiers utiles les gens????

samedi 25 septembre 2010


Je l'ai enfin eu mon rdv Pole emploi.
C'est fou comme rien n'a changé après tous ces changements...
Mon conseiller s'appelle Momo et a l'air malgré son énergie, son sourire et sa fausse bonne humeur, drôlement désabusé dans le fond.
En tous cas il me l'a bien mise avec son "atelier pourri" de 4 jours...
Dès lundi je vais me retrouver avec des *gens*, pour apprendre à "chercher un emploi."
hum... comment te dire... à ce niveau là je sais faire donc j'ai pas envie de me retrouver avec la caissière monoprix ou le jeune qui sort de son bts agence de voyage tu vois...
Je veux pas être méchante mais là, c'est franchement me provoquer.

Les cupcakes de Chloé sont tellement bons que j'ai failli tout me bouloter d'un coup.

Je me suis coupée les cheveux.
Mais on s'en fout.

Et j'apprends que la prochaine grande grève a lieu la veille de mon départ.
Je reste positive.
Par contre une autre, dite plus sympatiquement "reconductible", aura peut-être lieu la veille de mon retour... Et si je me retrouve dans la merde, coincée je ne sais où, je vais beaucoup moins bien le vivre.
Sache le saleté de syndicaliste, je te conchie. (ou concacare)

jeudi 23 septembre 2010

J'avais fait mon programme. St germain... Une promenade... Un petit jardin...
C'était sans compter ces connards de grevistes qui ont défilé sur MON chemin...
Ils ont ruiné ma journée ces enflures.
Heureusement j'ai eu autre chose en tête pour m'occuper.
J'ai de nouveau été contactée par ma cousine que y a 18 ans qu'on s'est pas vues.
La première fois (il y a 6 mois) je lui ai gentiment dit que ça me faisait bizarre, que j'avais rien à lui dire, qu'on était un peu comme des étrangers finalement.
(oué je sais, j'ai toujours su être chaleureuse)
La 2e fois je l'ai un peu ignorée.
Et comme elle est revenue à la charge alors que j'étais en pleine crise émotionnelle familiale et mortuaire... (même pas la mienne en plus), j'ai craqué, je lui ai dit d'accord (elle me proposait de voir la photo de ses gamins...)
Tu penses bien qu'elle ne s'est pas retenue, elle m'a effectivement envoyé ses 3 mioches (je passerai aussi sur la déco de la maison du plus mauvais goût...) Ni beaux ni moches, mais avec des prénoms ridicules.
Voilà où j'en suis maintenant.
Qu'est-ce que tu veux que je lui dise???

En plus de ça, elle a enfoncé le clou, avec une seconde "analyse de ma réponse", en disant que je "n'ai pas forcément tant changé" (...), je serais d'après ses souvenirs: "intelligente, souriante, sensible et réservée mais présente avec un fort tempérament et un sens tactile très développé. Un manque de confiance en soi qui nécessite parfois qu'on lui affirme notre soutien pour être sécurisé."
Bien bien bien.
Je sais pas ce qu'elle fait comme boulot mais y a un peu de psy dedans si mes souvenirs sont bons...
Je soupçonne surtout un copier-coller d'horoscope de bas étages.
C'est moche.
ça aurait pu s'arrêter là, mais ça n'aurait pas été suffisant pour entrer dans la catégorie *roman de famille*, alors elle m'annonce le plus simplement du monde que mon cousin de ya 5 ans (que j'avais gentiment laissé dans son coin sans donner suite...) avait passé l'arme à gauche.

Héééoué.

(j'te laisse quelques instants pour reprendre tes esprits face à cette douloureuse nouvelle)

Merdalor!
c'est quoi cette manie en ce moment?
Y a une liste pour qu'on puisse se préparer avant ou bien?
Il avait mon âge donc c'est un peu con pour lui.
(oui je préfère voir mourir les personnes âgées)
Ce qui me désarçonne le plus dans tout ça?
C'est de ne rien ressentir finalement. Je ne le connaissais pas après tout.
(je suis une crevure)
rah lala, toutes ces conneries de liens, je ne sais vraiment pas gérer.

"Saches qu'à aucun moment tu as été une étrangère à mes yeux."
(arrête Monique j'vais chialer)
C'est gentil, mais je sais vraiment pas quoi lui répondre maintenant... c'est gôgné!

lundi 20 septembre 2010


Enfin de retour à la civilisation.
ça ferait presque bizarre.
Mais je le vis bien merci.
Je fais... RIEN, comment pourrait-on mal le vivre?
Je prends doucement mes marques.
Je prends surtout garde à ne pas me laisser entrainer à larver devant toutes les merdes télévisuelles diffusées à l'attention des "ménagères" (catégorie dans laquelle je tombe malgré moi; j'ai bien moins de 50 ans, et je constitue actuellement avec l'Autre un "ménage"... (Toi aussi donc pas la peine de rigoler)
Et dire non à Sophie davant et le journal de la santé, c'est pas comme si c'était si évident.

J'ai une todolist.
Tout ce que j'arrive à faire c'est des projets (à très court terme) (pour "tout à l'heure" quoi), ne pas les tenir (parce que j'ai toujours mieux à faire le moment venu), me forcer à sortir voir et absorber les derniers rayons de soleil, et si possible en profiter (parce-que comme beaucoup je pourrais ne pas y avoir accès) ( je suis solidaire, c'est sympa de ma part).
Tout ce que j'arrive à faire c'est commencer 6 choses en même temps, et toujours retomber sur l'ordi, à me faire embarquer par des conneries à lire, des mails à écrire, de la musique à écouter (pour les trentenaires cette fois) (comme moi) (mais qui ne font pas leur âge). 6 choses en même temps que je ne finis pas.

J'ai rdv à pole emploi (quand même, je dois faire semblant d'avoir un projet professionnel) à la fin de la semaine.
Ils ont mis 20 jours à prendre en compte ma demande (au lieu de 72h, je sens que notre relation démarre sur de bonnes bases).
Durant l'inscription ils demandent les expériences professionnelles des 4 dernières années. Sauf que les miennes en couvraient 6 d'années. Alors forcément ça a tout buggé. Entre nous ça colle décidément vraiment bien.
Je suis IMPATIENTE de rencontrer ma conseillère personnalisée.

lundi 13 septembre 2010


C'est fou la délivrance une fois que tu laisses le cercueil là-bas. T'es toujours triste mais ya comme un sentiment de finalité. T'as plus envie de pleurer parce que pour nous la vie continue. Y a pas à dire, c'est bien foutu comme coutume ce truc.

Je vais pas te raconter les histoires de famille qui suivent forcément un décès, tu t'en fous... Mais après une journée comme aujourd'hui trèèès informative (en résumé c'est une grosse pute!!) il est de bon ton de terminer sur un diner digne de ce nom.
Après le sanglier du village d'hier, j'ai pu gouter ce soir à l'auberge de Sisco (systems) (c'était mon runing gag)
De nombreuses interrogations fourmillent en moi depuis:
- comment font-ils pour que ce soit aussi bon?
- j'en ai fait des resto ds ma vie mais je n'ai jamais vu des assiettes pareilles. 2 plats dans 1... Humainement difficile à finir. Est-ce que le chef n'a pas un problème avec son sens des proportions?
- N'auraient-ils pas un élevage de chiens ou de je ne sais quoi à nourrir? Evidement rares sont les personnes qui rendent une assiette vide...
- ont-ils un problème avec les desserts? Peut-être ne veulent-ils pas en faire? Sur toute la salle j'en ai vu passer qu'1...

Cà va bien au-delà de la traditionnelle interrogation "je prends ou je prends-je pas un dessert?", "une petite note sucrée pour finir?", "oui mais alors c'est surtout par gourmandise hihi..." parce-que la gourmandise tu l'as déjà assouvi en abusant plus que ton estomac ne pouvait avec un morceau de veau...
J'ai l'impression d'être enceinte de 6 mois.
J'ai plus envie de manger jusqu'à la fin de ma vie...

Jusqu'à demain quand j'aurai faim quoi!


Hier j'ai fait une nouvelle BA de toute la vie.
Je suis retournée au village des ancêtres.
Le vrai, le trou dans la montagne, le nulle part, le dernier truc sur la route parce qu'après y a plus rien, après tu tombes de l'autre côté, le truc que tu peux même pas concevoir tellement y a RIEN.

L'expédition ne serait pas mémorable si je ne m'étais pas tapée la famille aussi, la journée public relation. (avec la photo de groupe!!!)
je suis gentille, je suis une crème.
Je supporte plus que je ne l'aurais cru.
(ça va couter cher en bague et en sac tout ce bordel!...)

mercredi 8 septembre 2010


Bon, là il pleut.
C'est un peu les boules.
Hier j'ai fait ma BA pour la vie, j'ai reçu les condoléances de la ville entière (sans déconner, il était connu dans la ville ENTIERE!)
J'avoue qu'à midi j'ai falli perdre patience. Supporter tous ces gens qui te bisoutent, les joues humides et les mains moites. Nous ça fait 3 jours qu'on pleure donc ta compassion hein...
Je commence à fatiguer.
Et puis il a fallu l'emmener dans la belle grande église, les cloches, les larmes, les chanteurs corses qui ont fait raisonner les vitraux... Moooon dieu j'ai jamais autant pleuré de ma vie!!!
Je ne voulais demander qu'une chose : qu'on les fasse taire ou on va tous se pendre!!!!!
C'est bon je suis blindée, on peut égorger une loutre ou écarteler un bébé panda sous mes yeux. Imunisée.
Ensuite la sortie de l'église et rebelotte tout le monde t'embrasse te tape sur l'épaule...
A ce moment là, tu te dis que le plus gros est passé parce que ça fait quand même beaucoup d'émotion depuis quelques jours et peu de sommeil. Mais non! Ensuite tu pars pour 2h de route et la montée au village. Le vrai enterrement dans le cimetière des ancêtres. La cohue, le bordel sans nom, tous les vielles croutes du coin qui te piétinent. J'ai même pas pu rentrer. J'me suis fait dégagée sans ménagement à plusieurs reprises. J'ai rien dit, je sais me tenir (et j'étais au premier rang MOI...), mais à 2 doigts de les pousser de la falaise j'étais.
Deuil ou pas, faut pas me chercher.

lundi 6 septembre 2010


Vendredi et samedi soir j'ai joué à la serveuse pour la première fois de ma vie.
Je devais aider. On est un peu là pour ça.
Mon baptême: des italiens ne parlant qu'un anglais approximatif. Va expliquer cannelloni au brocciu en anglais toi... (même si j'ai trouvé bizarre que des italiens me questionnent sur des cannelloni...)
Et la table de 10...
Vous avez le look du service vous! (je ne sais toujours pas ce que ça veut dire)
J'ai toujours mal au dos, et aux jambes.
Un sacré bon métier de merde.

Là j'attends.
Cet nuit on a eu l'ultime coup de téléphone.
Il est 3h du matin et on te dit c'est fini.
Tu penses bien que je fais des efforts mais que me demander d'aller à la morgue pour le voir une dernière fois avant fermeture du cercueil... Je ne peux PAS.
Faudrait voir à pas trop déconner non plus hein...

samedi 4 septembre 2010


J'y suis.
Je soutenais tout le monde avec mon sourire (une grande tante que je rencontrais pour la première fois m'a même dit que j'étais gracieuse, j'invente rien!),
et puis là je reviens de l'hôpital.
C'est juste un enfer.
J'ai vu ce que je ne voulais pas.
Je suis rentrée dans la chambre, j'ai dis bonjour à la famille, et je suis sortie en courant, m'effondrer dans l'escalier.
Je ne peux pas tenir mon rôle, sourire à tout le monde, et rester de marbre face à tous ceux qui ont les larmes aux yeux depuis des jours, avec cette image de lui dans ma tête maintenant.
Putain je ne voulais pas y aller!
Je n'aurais pas dû!
Je suis rentrée en bus, en pleurant.
Je suis allée à la Citadelle en pleurant.
Je me suis assise face à la mer (c'est sûr que c'est toujours plus sympa qu'à Calais), en pleurant.
J'ai mal à la tête, il fait trop chaud, c'est pas des conditions climatiques pour être triste.
Maintenant que j'ai tout lâché, il faut faire face, avec cette bonne coutume corse de raconter les choses différemment selon les gens (à lui tu dis, à lui tu mens, à lui tu fais comme si...)
Mon dieu qu'ils sont compliqués ces gens.

vendredi 3 septembre 2010


Allez j'y vais!
ça me fera mes vacances et ma dose de soleil pour l'année.
Salut j'ai un avion qui m'attend.

mercredi 1 septembre 2010


Mon premier jour de vacances.
Et le père mourant qui l'est réellement pour le coup.
Le concub' vient de partir par le prochain avion.
Merci l'ambiance.
Va falloir que je sorte ma robe noire pour l'occasion.
J'y vais ou j'y vais pas?