mardi 29 avril 2008


Je suis malade. Très.
Je tousse. Je crache. Berk. J'ai mal au nez.
Voilà c'était juste pour vous tenir informés.

dimanche 27 avril 2008


Quand un dimanche à Paris il y a du soleil, tu n'as pas 36 solutions.
Tu finis dans un parc (monceau) overoversuperrempli de gens venus entre copains/famille pour picniquer, parler (fort), jouer de la guitare, avec les poussettes, les gamins, les ballons...
Va t'isoler toi dans une telle configuration! Alors tu choisis un banc, celui à côté de la mare d'eau croupie (félicitation au pti blond et son "naaaan roule pas dans le pipi de chevo!!!!") tu t'y asseois.
Et voilà.
Tu regardes les poneys qui te passent environ 800 fois devant en 2h.
Et puis tu rentres chez toi et soudain... une brève sur itélé: Han lala regaaard'!!! *2 fillettes de 3 et 4 ans sont mortes trainées par un poney en loire atlantique*!!! C'est la balade en poney qui a mal tourné... T'imagine les pti poneys tout pourris qu'on a vu aujourd'hui... c'est malin à cause de ça ils vont légiferer les promenades et les lexomeliser...
Quand ta vie rejoint l'actualité.
Reste à savoir où je vais dormir cette nuit. Avec l'usine de matelas qui a brulé...

vendredi 25 avril 2008


Hé oué, désolée de te l'apprendre comme ça, mais moi aussi ça m'arrive. Je suis humaine comme toi, moi aussi je pète les plombs. Juste que je vais essayer de surveiller ça, j'ai peur d'avoir des tendances hystéromaniacofoldingo des fois. Genre la crise de larmes dans la rue c'est limite. Certes j'ai tourné à droite dans la "petite rue", histoire d'être isolée. Mais bon y avait un pti public tout de même. A avoir la bonne idée de s'arrêter juste devant un théâtre à 19h55, soit 5 min avant une représentation... les gens arrivaient petit à petit. Merci la tranquillité. (De quoi se plaignent-ils z'avaient un show, un before pour gratos!)
C'était gênant. Avec l'autre grand dadet à côté complètement impuissant, un chouya responsable du déclenchement. Super la scène.
Je reste chez moi pendant 3 jours à me morfondre. ça va pas.
Je sors, je vais au resto, je vais au théâtre (en tant que spectateur cette fois), je râle et critique accessoirement tous les gens que je croise sur mon chemin et ça va pas non plus... ("humour!!!")

Tu aimes les blagues foireuses, les calembours tout pourris, l'humour "borderline", les jeux de mots ridicules, les vannes qui tombent à plat?? D'une je t'adore déjà, et deux, tu vas adorer Jérôme Daran. (sponsorisé par rire et chansons, forcément gage de qualité) (super le lien, ya rien) (juste on ne fera pas gaffe à cet espèce de truc moche, ce genre de pubis taillé qu'il porte au menton... on a dit de pas juger sur le physique, j'te jure il dit des trucs super drôles) (attention, je vais me remettre à parler sans les parenthèses)

Bref, je ne sais pas si ça va mieux, ou si c'est reparti pour un tour. Un peu comme une tuyauterie bouchée, où tous les 3 mois ya la merde qui regorge des chiottes. Un peu de destop, et ça redescend. On verra la prochaine fois. On avisera le jour où y aura une vraie innondation...

Tu m'étonnes que c'est la déprime, bientôt l'été les beaux jours = de moins en moins de concerts...

Le jour où tu comprendras que le monde des jeux vidéos est fait de subtilités...

mercredi 23 avril 2008


Je déteste les mecs à la radio qui parlent sur l'intro jusqu'à la première syllabe de la chanson.
Je suis inquiète aussi, on entend plus parler de Muse et placebo. Ils sont sûrement en train de préparer leurs petites bousasses chacun de leur côté, pour les sortir en même temps. J'appréhende grandement. J'ai peur d'être dans 6 mois...
6 mois? Hé oué tiens, je serai où dans 6 months? Je ferai quoi? J'aurai un travail (avec des hommes?) ou pas? Qui peut savoir?
En tous cas vivement que ça change, parce que là, présentement... comment dire... assez dure la période.
D'abord il faudrait que j'explique, mais j'arrive pas à déterminer l'origine du malaise. Encore une fois le retour de vacances. Y a-t-il un lien? Un décalage avec le retour à la réalité et cette triste vie parisienne toute pourrite, cette hygiène de vie dégueulasse? Est-ce un cycle? La lune? Est-ce un ras le bol plus profond? Est-ce ce boulot que je ne supporte vraiment plus?
Hier je suis rentrée à 20h30. J'ai pleuré. Beaucoup et fort. Un peu crise de j'sais pas quoi. Jusqu'à 23h. complètement épuisée. Je me suis endormie. Le matin, je me suis réveillée avec des pneus à la place des paupières. T'imagine le truc, toute bouffite. J'ai fait profil bas, personne ne me l'a heureusement fait remarquer. "Encore sa sale gueule du matin" qu'elles se sont sûrement dit.
Cette nuit là j'ai rêvé d'un truc bizarre. J'étais dans un bus (autocar) avec "il", à Marseille, en direction de l'aéroport. Sur une petite route (qui n'existe sûrement pas, je n'ai jamais mis les pieds là-bas) au bord de la mer, genre corniche.
Sauf que, il y avait une tellement bonne ambiance dans la car, tout le monde déconnant à mort avec le chauffeur, qui faisait le con avec le volant. Et là... c'est le drame.
On sort de la route. Le bus plonge dans l'eau. Mais super beau le plan, au ralenti comme dans les films. Sauf que dans la panique, le chauffeur ouvre la porte, ce qui fait rentrer plus d'eau, et qui nous fait couler encore plus vite (il en manque pas une!) Bon, comme toute bonne série de M6, ça finit bien, je ne sais plus trop comment, mais moi j'arrive à me faufiler et à m'en sortir. Les autres je ne sais pas. Voilà. Le reste est trop flou. Tu te souviens de tout toi quand tu te nois???
Lourd de sens ce rêve non? Le truc symbolique... qui coule... moi dedans... Je me demande c'est tout...
Bon ça ne m'a pas empêchée de passer une plutôt bonne journée. Me suis promenée le soir. il fait beau, les touristes sont de retour. Encore plus nombreux. Invasion.
J'ai même passé une soirée tranquille à ranger mes petites amplettes.
Puis, le nouveau drame. Le texto de 22h. Là encore, je ne sais pas. Ce n'est pas le contenu du message, complètement ininterréssant, mais plutôt l'envoi du message, le geste. Ce truc a déclenché une nouvelle crise de larmes, limite crise de nerfs. Déjà que j'avais mal à la tête, alors là le pompon!! Tu sais quand tu sens ton coeur battre dans les tempes. j'avais presque peur que ma pression sanguine trop forte me fasse péter les yeux...
Et c'est là que tu te dis mince! Les boules, si je fais un vrai malaise, je suis toute seule, je peux crever comme une vieille limace, personne ne verra rien. Juste le boulot qui se posera des questions le lendemain vers 10h, mais qui vu la situation actuelle, croira à un abandon de poste. On me retrouvera alors dans 3 semaines quand j'aurai je ne sais plus quelle sorte de vermisseaux grouillant dans mes boyaux, et que ça sentira le pourri jusque sur le palier. Triste fin...
Non mais sinon je pète le feu hein! C'est ça le paradoxe.
Je crois que j'aurais bien besoin d'une petite séance de boxe. Un truc pour bien décharger tout ce que j'ai en trop. Ou non pas boxe, un autre art martial, je ne sais plus le nom, mais un truc où on porte un pyjama...






J'ai fait une pause compresse d'eau froide.
Pour éviter d'avoir les yeux tout collés demain matin. Héhé pas folle, je commence à comprendre le système !
J'écoute Europe1. ça me détend. L'émission de la bonne femme avec les gens qui appellent pour raconter leurs problèmes. ça me soulage d'entendre que c'est pire chez les autres. D'habitude même j'me marre. Quoique ce soir, c'est ptêtre moi qui vais appeler...
- Bonsoir Thérèse
- Bonsoir Micheline, alors racontez-nous
- D'abord merci Thérèse de me prendre sur votre antenne, ça me fait très plaisir de vous parler (ils disent TOUS ça, à croire qu'on les brief'), en ce moment c'est pas la foforme, je ne supporte pas grand chose, je chiale pour un rien.
- Hummmmmm mmmmm mmmmm oui... mmmm c'est sla oui....
- Que dois-je faire? J'appuye sur le bouton?

Non je vais prendre un Quadro. (Tu te rappelles? la gaufrette...)

On ne peut pas dire que je n'ai pas fait d'effort. 2007 fut malgré moi l'année de l'effort. Sauf que. Aujourd'hui je me rends compte que ça n'a pas porté les fruits. Je pense que c'est pas fait pour moi tout ça. Je n'ai pas ce modèle dans mon inconscient, mon acquis, mon formatage d'élevage, je ne sais pas comment on dit, bref je crois que je ne peux pas concevoir ce modèle social couple -> vie communce -> chien -> enfants -> vacances au camping...
D'une je déteste le camping, deux ça marche pas, ya toujours un moment où ça pète. Je ne supporte tout simplement pas la notion de couple où tu disparais complètement pour devenir une autre entité. Un "nous", "vous". Je ne suis pas siamoise. J'étouffe. Alors ça pète.
Il est 1h je vais dormir. Salut.

dimanche 20 avril 2008


Léo à la mer (ça faisait longtemps)
De retour sur la côte basque (après mai 2001, mai 2005...), j'adooore cette région.
C'est toujours aussi beau, frais, vivifiant.
Premier jour: la frayeur.
Non mais c'est quoi tout ce monde??? C'est les vacances? On les a tous autorisé à sortir? Enooorme déception. Normalement quand je viens ici c'est pour me reposer, voir personne. Au pire les locaux. Pas pour slalomer entre les 15 membres d'une même famille.
Mais la joie de voir la mer, sentir les embruns dans tes trous de nez calme vite les choses. Après-midi prise de repères, petit tour de la ville. De l'air, des vagues, des petits chiens. On fait retomber son taux de stress à 1. Calme et détente.
Le soir on mange typique comme là-bas. Et même que c'est pas très bon l'axoa de veau, c'est une sorte de hachis.
L'hotel sent bon, mais la déco est kitsch moche un peu ringarde et le lit n'est absolument pas confortable.
Deuxième jour: où l'on découvre l'utilité de ses orteils
Après checkage de météo, l'unique jour de grand beau étant pour aujourd'hui, profitons pour aller à Anglet. C'est toujours que de la plage sur des kilomètres. Rien de plus. Mais c'est joli, ya pas tant de monde, et ça fait un putain de bien fou de sentir la chaleur du soleil sur sa tronche (quand le dernier rayon aperçu au loin date du 3 octobre 2007....)
T'en profite pour marcher sous les uv sans crème. C'est plus rigolo le soir de cuire des joues.
Le problème c'est que tu marches, tu marches tout droit, tu avances sans faire trop gaffe, jusqu'au moment où tu as bien mal aux jambes, et tu te dis que ce serait bien de rentrer. Sauf que tu es déjà loin, et qu'il va falloir tout refaire dans l'autre sens. Et ça, avec un orteil décédé dans ta chaussure.
Troisième jour: ou "la fille qui fit don à la ville de Bayonne de 3 de ses orteils"
Alors c'est sûr c'est pas avec une nuit dans un lit pas confortable, mi-j'ai trop chaud mi-j'ai trop froid, que tu te reposes vraiment de ta randonnée de la veille (> 4 km) et que surtout tu remotives tes pieds pour encore marcher toute la journée. (oui tout le monde sait que la converse n'est absolument pas la chaussure pour le walking, mais encore aujourd'hui je ne sais pas ce qui m'a pris...)
Donc quelques pas, les 3 ampoules se réveillent, je marche tordu et la douleur remonte donc rapidement dans toute la jambe, et avec ça faut faire le tour de Bayonne, (qui heureusement n'est pas si grand), regarder autour et dire oh c'est joli. Sans faire la blasée, aucune grande surprise ayant déjà fait chauffé mes semelles par le passé dans ces rues. Heureusement à mes côté, un public tout ébloui "oooh regarde toutes ces petites maisons comme c'est mignon!!"
Quatrième jour: A l'extrême Est de biarritz, à la recherche du "point de vue le plus haut sur toute la côte c'est magnifique"
Enfin PER-SONNE. Le pied. (ou ce qu'il en reste) Juste toi, la mer, le vent, les vagues, et des petits oiseaux. (et des chiens chiens avec leurs vieilles) Le truc parfait pour terminer, pour se reposer et juste profiter.
C'est ce soir là que tu apprends qu'un coucher de soleil, ça ne dure que 2'30. Si si. Tu passes plus de 2h sur la plage dans un vent, qui te glace même l'intérieur des os, tu ne t'éloignes pas, tu ne vas même pas t'abriter un peu, au cas où le soleil ferait une pointe de vitesse et se casse direct. Tu supportes, subis, tu serres les dents pour? 2 putain de minutes de rien du tout. Le problème c'est que pour patienter, pendant ces 2h d'attente, tu fais des photos forcément. Tu cadres dans tous les sens, histoire d'avoir tous les points de vues. attention, arrête un peu avec les photos t'auras plus de batterie...
Bah oué ça n'a pas loupé. Tu vises, et sur l'écran tu vois low batterie, bzziouu le bidule qui s'éteint. Pas moyen il veut plus. MAIS C'EST MAINTENANT LE MOMENT FATIDIQUE!!!!! ON A QUE 2 MINUTES 30 POUR IMMORTALISER LE BAZAR ET QUE JE ME LE REPASSE EN BOUCLE A PARIS QUAND JE DEPRIME!!!!! Non il veut pas... bon...
Donc 2h à se cailler les miches pour 2 minutes 30. Ah ça merci bien! Au moins on aura écrit des conneries sur la plage et on apparaitra dans une banque d'images, et on sera sélectionnés pour une pub rayban...

Sinon je t'ai dit que j'ai vu un chien noyé, échoué sur la plage, avec les boyaux qui commençaient à sortir, et les os des pattes arrières à l'air? Le pauvre... ça se trouve il était gentil...

samedi 19 avril 2008


Fais chier ce site, je viens à peine de rentrer, je check juste les mails et bim je passe 3h sur copains d'avant...

vendredi 11 avril 2008


Hier je suis allée voir mon mentor, mon modèle, je la soupçonne d'avoir pris exemple sur moi un peu... Je suis allée au théâtre voir "L'abribus" avec Florence Foresti.
Je ne te conseillerai pas d'y aller tellement c'est over complet (ayant moi même acheté ma place au mois de janvier, pour donner une idée...)
Alors évidement c'est drôle, c'est un duo, une vraie histoire. Le postulat de départ est simple et peut-être même un peu décevant (vu et revu), la rencontre de 2 opposés (stress de la ville vs. calme de la campagne). Malgré tout les dialogues sont bons. Et elle, elle est évidement giga drôle. Tellement que ça en est énervant, tellement facile que tu crois que tu peux faire la même chose.
En partant tu te dis mais c'est ça! que t'as eu raison de poser ta dem', c'est ça comme métier que je veux faire -> être aimé de tous, faire pleurer de rire les gens et qu'il repartent en disant "j'adore cette fille elle est géniale".
J'suis pas exigeante.
(si je peux me permettre, je la trouve beaucoup moins jeune qu'à la télé... les cernes ça pardonne pas... c'est coup de chance, j'étais du bon côté, à gauche, celui où elle est tout le temps...)
Bon alors? c'est où qu'on postule pour être adulée?

jeudi 10 avril 2008


Ce soir, en partant j'ai filé ma lettre de dem'.
Comme ça.
Cash.
Mais je crois que je me suis gourrée dans la date de fin.
Quel conne.

mercredi 9 avril 2008


La vexation du jour, merde alors!
J'ai pas du tout apprécié ce qu'elle m'a dit, pas même son refus.
Dommage on aurait pu partir en laissant une bonne impression, mais ça ne sera pas le cas. Pas pour moi, pas dans ma tête.
Chacune n'acceptant pas la façon de prendre la chose de l'autre.
Ok adieu, et bon vent.

lundi 7 avril 2008


Mac de merde.
J'avais la motiv, la pêche.
J'ai fait du pain à la tomate.
J'ai viré l'autre qu'il aille voir son copain.
J'ai la photo pour le cv.
Bref, j'avais tout, TOUT pour que ça marche. Suffisait de fignoler la mise en page. Checker les annonces et envoyer le tout vite fait bien fait.
Mais non, mac de merde.
Après 2h de lutte acharnée, après avoir failli casser 7 fois la souris dans un lâchage violent et non contrôlé, le résultat semblait potable mais... le truc ne voulait pas se mettre en pièce jointe, inenvoyable. imposible to send. Si y m'disait au moins ce qui lui plait pas... mais non. Y m'laisse méchamment dedans, seule avec mon désarroi et l'histoire qui n'a pas avancé d'un minipouce.
J'te jure des fois je regrette la machine à écrire.

Je n'ai donc pas d'autre choix. Je suis "obligée" de jouer à DMC4*.
Je suis amoureuse de Nero.


* Devil May Cry 4 inculte. Rien que le titre est chou.

samedi 5 avril 2008

Juli' : l'hyperbole tu coné
Valentin : c'est quand ta beaucoup de chance?


ça occupe les week end d'avoir une famille! Ils me niquent tous les samedis, merci les amis! Comme de bien entendu, ne souhaitant absolument pas me mêler à la mascarade, et faire semblant que ça me fait plaisir, bah je n'y vais pas et me retrouve avec les simpsons du samedi soir. Yeah.

Souvent le vendredi on sait pas trop quoi faire, alors un pti concert!
Les salles parisiennes sont finies, trop chères, pas de booking, zéro trucs bons et nouveaux à écouter, plus rien à dénicher si t'es pas fan de christophe maé.
Donc direction St Ouen (93), le nouveau temple du rock un peu.

Pour commencer par CATS and CATS and CATS.
Petite bande de jeunes anglais, au style assez personnel, avec le guitariste le plus petit du monde. Faut aimer les trucs complètement destructurés ("indie experimental", ça pour sûr!), une voix fausse, des mélanges de passages prog et pop. Il faut faire abstraction de leur petite copine avec son crincrin (violon électrique mais en beaucoup moins dynamique que Catherine Lara), qui elle aussi était complètement fausse, j'ai pas trop saisi le pourquoi de sa présence. Complètement absente d'ailleurs, elle a pas décroché un sourire, non je crois qu'elle aurait préféré être dans sa chambre à manger des cornflakes, plutôt que de tourner dans des salles minables...
Malgré tout, un truc qui rend vraiment pas mal au final, j'ai beaucoup aimé. Groupe à suivre en tous cas. (ça m'a fait penser à I'm from barcelona des fois.) (en beaucoup moins nombreux)
Comme d'hab le pti quart d'heure de pause, changement de matos. Tout le monde, enfin le public, enfin les 22 pelés qui ont osé se pointer ici, retournent gentiment dans la salle d'attente/salle à manger/bar, afin de patienter sur des banquettes en sky.
Sans rien dire, les suivants se mettent à jouer, tout le monde se précipite alors dans la salle. Sauf moi forcément.
Rumble in rhodos: Imprononçable en effet. Beaucoup plus pêchus, beaucoup plus bruyant, puisque je les entendais aussi bien de dehors, mais pour le reste, je ne sais pas, je ne suis pas entrée. Pourquoi? Je ne sais pas, juste pas envie.
Deuxième pause. Les gens reviennent dans la salle à manger. Le groupe tout transpirant aussi. ça c'est sûr, c'est pas christophe willem qui attendrait son tour sur scène juste à côté de toi en s'enfilant des bières, comme nos amis des trois groupes de ce soir.
Je ne sais pas si je tiendrai jusqu'à Dominic..." Bah si la preuve.
Dominic, alors là, très bien. Gueulant comme il faut, un très bon drummer, m'ont cassé les oreilles, je ne sais pas si le son à fond dans cette petite salle multifonction avec de la moquette au mur est fait pour, enfin bref, bien kiffant comme disent les jeunes.

Une bonne petite affiche tout ça, qui méritait pour sûr une meilleure visibilité que cette salle, ce micro public, ce show intimiste.
Dommage, une vraie fête au jean slim les gars!!

Pour preuve que j'étais pas la seule à aligner mes 10 zeuros pour remuer des genoux en rythme. Je vous laisse seuls juges, mais personnellement je préfère nettement MA review... Je ne te connais pas Fabienne, mais j'ai un peu envie de te dire arrête, ça se voit que tu remplis, payé au nombre de caractères... Hein. My friend.